Coutumier du fait, le loueur Sixt se paie dans une campagne publicitaire les candidats à l'élection présidentielle.
Commençons par les finalistes : "Cher Monsieur Macron, ni gauche, ni droite, n'oubliez pas de prendre un bon GPS", "Chère Madame Le Pen, on sait que vous penserez à fermer les portes, n'oubliez pas non plus d'ouvrir le toit". Les perdants ne sont pas oubliés. "Cher Monsieur Fillon, à défaut de conduire le pays, vous pouvez toujours piloter une voiture Sixt". Le loueur s'est aussi payé Jean-Luc Mélenchon, "la prochaine fois, pour passer de la 5e à la 6e, louez plutôt une Range Rover Sport" et Benoit Hamon est invité à s'installer dans le fauteuil d'une jaguar "à défaut d'avoir celui de président". Quant aux autres ceux qui n'ont pas franchi la barre des 5%, Sixt les ignore et c'est bien triste. Pourquoi Jacques Cheminade n'aurait pas le droit au bonheur de pouvoir piloter une belle voiture avant de prendre les commandes de la fusée qui doit l'emmener coloniser Mars ?