Le résultat net de l'année dernière a été huit fois meilleur que prévu.Distribution en agences des trois nouvelles collections Voyages Extrêmes.Programmation annuelle d'escales insolites et d'itinéraires fouillés.L'année 2004 fut belle pour Hurtigruten.
Pour sa première année d'exercice en France, le spécialiste du Grand Nord a embarqué 3 000 passagers français (contre 800 en 2003) à bord de ses onze navires, "un résultat très largement au-dessus de nos prévisions", assure François Weill, PDG de Hurtigruten France. L'ouverture d'un bureau de représentation à Paris en octobre 2003 suivi d'une flopée de campagnes de communication et d'actions de formation toute l'année 2004 a complètement changé la donne. "Le résultat net est huit fois meilleur que prévu et nous avons aujourd'hui un an d'avance sur nos objectifs", poursuit-il. C'est donc dans une atmosphère pleine d'espoir que l'équipe de Hurtigruten a concocté la nouvelle collection annuelle Voyages Extrêmes : les croisières en Antarctique, en Norvège et au Spitzberg. Extrêmes pour leur dépaysement mais également pour l'approfondissement de la destination. "Tous nos départs vont en péninsule Antarctique" tient à souligner François Weill. "Au Spitzberg, ce que les autres compagnies de croisières font en deux jours nous le réalisons en quatre", insiste-t-il. Un tour complet du Spitzberg est même programmé alors que seul un bateau russe et un navire canadien le proposent aujourd'hui. Dès le mois de mai, le MS Lofoten, le dernier express côtier de cette génération (41 ans), effectuera des itinéraires "comme il n'en n'existe plus en pénétrant dans les lieux les plus reculés et les plus étroits avec un guide français présent sur chaque départ". Face à un tel succès, le bureau français prévoit déjà de proposer un navire supplémentaire en Antarctique dès l'été 2006 et de diversifier son offre en projetant la construction d'un nouveau bateau pour desservir le Groenland.
Croisières