Du 25 juin au 31 août, l’association des sociétés françaises d’autoroutes (ASFA) lance sa nouvelle édition de Croq’Malin : une offre estivale de restauration à petit prix disponible dans les selfs et boutiques des autoroutes.
En marge, une étude aborde les habitudes alimentaires des Français durant leurs vacances. Pour la grande majorité des français (71%), la pause repas sur autoroute est un moment agréable qui constitue un avant-goût des vacances, aussi bien pour ceux ayant déjà préparé leur repas (58%) que pour ceux qui trouvent leur bonheur dans les selfs ou boutiques des aires de service (42%). Ce moment de détente est d’ailleurs partagé par toute la famille puisque selon leurs parents, la plupart des enfants plébiscitent l’arrêt sur une aire de service pour pique-niquer (65%) ou manger dans un restaurant ou un snack (28%).
Le meilleur rapport qualité-prix constitue la première attente des interviewés : lorsqu’ils se restaurent sur les aires d’autoroute, ils recherchent d’abord une nourriture et des boissons à moindre coût (51%) ainsi qu’une offre de nourriture plus variée et équilibrée (45%). Viennent ensuite la recherche d’un moment de restauration agréable, dans un cadre intimiste et plus silencieux (40%, +5 points par rapport à 2014). Des attentes auxquelles répondent les efforts réalisés en matière de rénovation des aires par les sociétés d’autoroutes et leurs partenaires. Le budget consacré à la pause déjeuner est stable : 12 euros en moyenne (contre 11,90 euros en 2014), même si près de la moitié des personnes interrogées déclarent faire plus attention (Vs 2014) aux dépenses de restauration sur l’autoroute (45%). Assez logiquement, le budget des plus jeunes, qui déclarent davantage que les autres apporter leur propre repas, est plus serré que la moyenne (9,10 euros). L’offre Croq’Malin, 5 euros en boutique (sandwich, boisson et dessert) et 8 euros en self service (plat et dessert) se situe en dessous de ces intentions de dépenses.
Une fois arrivés sur leur lieu de vacances, seuls 15% des interviewés déclarent conserver leurs habitudes alimentaires. Pour la majorité (60%), les vacances sont l’occasion de découvrir des plats ou produits régionaux quand 25 % estiment que le repas en vacances, c’est l’occasion de se faire plaisir, sans se contraindre. A noter : si 45% des français déclarent cuisiner le plus possible en vacances, avant tout pour limiter les dépenses (60%), mais aussi parce qu’ils ont plaisir à le faire et plus de temps (40%), ils sont 55% à profiter de ces moments pour se restaurer à l’extérieur.