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Hébergement

L'hôtellerie européenne a limité la casse en 2003

Les bons résultats de l'économique compensent la baisse du haut de gamme.
L'Autriche progresse alors que les Pays Bas enregistrent le plus fort recul.
La France, en tête en 2002, se retrouve cette année à la quatrième place.
Le cabinet d'étude MKG Consulting vient de publier le bilan de l'hôtellerie européenne sur l'année 2003.
Mitigé selon les pays, il affiche globalement une baisse des prix moyens de 0,7 %, un niveau de remplissage en recul de 1,4 point et un RevPar à fin novembre en repli de 2,9 %. Et malgré les facteurs défavorables qui se sont accumulés cette année, ce résultat indique plutôt une bonne résistance. Par catégorie, c’est l’hôtellerie haut de gamme qui a subi le plus fortement les conséquences de ces événements (– 3,7 % de RevPar). Les catégories économiques et super-économiques (du 0 au 2 étoiles) ont, quant à elles, tiré leur épingle du jeu. Les hôtels 0* et 1* affichaient une évolution positive des RevPar à fin novembre, respectivement de 2 % et de 1,9 %, grâce à des évolutions de prix moyens encore importantes (+ 6,2 % et + 5 %). Avec un recul du RevPar de 0,9 %, les établissements 2* ont terminé l’année en équilibre par rapport à l’exercice précédent. Pays par pays, un vent d’optimisme a soufflé sur l’hôtellerie autrichienne en 2003. Après une année difficile en 2002 (– 4,7 % de RevPar), l’Autriche a fortement redressé le cap et affiche une belle progression de 6,1 %. A l’inverse, les Pays-Bas enregistrent les plus forts reculs d’activité de l’Union européenne puisque les revenus par chambre disponible ont chuté de 11,9 % par rapport à l’année passée sur la même période. Enfin, la France, en tête du peloton européen en 2002, se situe cette année à la quatrième place en termes de RevPar. Elle accuse à la fois un recul des recettes par chambre disponible de 2,5 % et des taux d’occupation de 2,8 points, malgré une hausse des prix moyens de 1,6 %. Mais ce résultat apparaît moins mauvais qu’il n’y paraît. En 1991, année du premier conflit en Irak, les hôteliers français avaient enregistré un repli du RevPar de plus de 9 %.

Auteur

  • La Rédaction
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