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Transport

Les alliances développent l'e-ticket interline

Un seul e-ticket même avec une correspondance sur une autre compagnie.
Oneworld développe cette fonctionnalité entre les membres de l'alliance.
Star Alliance va étendre ce service, Air France et Delta Air Lines le créent.
Déjà compatible entre certaines compagnies, l'e-ticket interline entre plusieurs transporteurs se développe, à la faveur essentiellement des alliances commerciales.
"Cette fonctionnalité permet aux passagers de passer d'une compagnie à l'autre sans avoir à réémettre le billet. Et d'enregistrer de bout en bout lorsque l'itinéraire inclut une correspondance avec un autre transporteur partenaire", explique l'alliance Oneworld. Après avoir lancé le mouvement avec Finnair en mai 2002, avant de l'étendre à Lan Chile, Qantas et Cathay Pacific en 2003, Oneworld va mettre en place six nouveaux partenariats en 2004. American avec Aer Lingus et British Airways en avril, puis dans les prochains mois British Airways et Qantas, Iberia et American, British Airways et Aer Lingus, British Airways et Finnair. Du côté de Star Alliance, les billets électroniques en interline existent notamment entre Lufthansa et Austrian Airlines, SAS et United. Mais une extension à l'ensemble de l'alliance est programmée rapidement. Au sein de Skyteam, Air France et Delta Air Lines viennent de lancer la formule, sur les ventes directes dans un premier temps. "L'e-ticket en interline entre compagnies est une très bonne chose car auparavant nous étions obligés de faire deux billets électroniques différents", souligne Sylvie Borel, directrice de Criv Voyages à Clichy (92), précisant que "le nombre de billets électroniques ne cessait d'augmenter". Ce que confirment plusieurs cadres de compagnies aériennes. "Plus de 60 % de nos passagers embarquent à Paris avec un e-ticket", indique Jacques Alonso, directeur commercial France d'American Airlines. Chez Lufthansa qui permet depuis peu de réserver le billet électronique sans identifiant (carte bancaire, Miles & More), on vise 35 % des billets sur le marché français contre 20 % en février (8 % en février 2003). "Les entreprises demandent le ticket électronique, et certaines refusent de voler avec les compagnies qui ne le proposent pas", souligne Jacques Alonso.

Auteur

  • La Rédaction
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