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Croisières

Croisieurope : de nouveaux bateaux et un retour en Egypte en 2019

Le MS Renoir est le dernier bateau  - reconstruit – de la compagnie Croisieurope. Il a été inauguré sur la Seine à Paris ce mercredi 11 avril. Dans le cadre de son développement, le spécialiste de la croisière fluviale en Europe prévoit la mise à l’eau de deux autres navires ce printemps. En 2019, ce sont encore deux autres unités qui arrivent. Croisieurope envisage également la construction d’un deuxième bateau en Afrique Australe, ainsi qu’un retour en Egypte à la faveur d’une croisière en Mer Rouge.

 
 
 
Croisieurope se porte bien et le fait savoir. Le MS Renoir qui a été entièrement repensé débute sa première croisière jeudi 12 avril. Avec ses 54 cabines pouvant accueillir 105 passagers, il naviguera sur la Seine entre Paris et Honfleur. Tout comme le MS Van Gogh inauguré lui aussi ce printemps et qui sera positionné sur le Rhône, le Renoir entend répondre aux nouvelles exigences des clients et monte en gamme de 4 à 5 ancres en terme de classification. « Il s’agit de deux bateaux entièrement repensés et redécorés, plus spacieux et confortable qu’auparavant.  Les cabines sont plus grandes (16 m2), les surfaces vitrées également » résume Christian Schmitter, directeur général, porte parole de la famille chez Croisieurope.
 
 
Cette année, Croisieurope renforce également sa capacité d’accueil sur l’Elbe en y mettant un second bateau 5 ancres, le MS Elbe Princesse II. Sistership du premier, ce navire à roues à aube, 5 ancres, est le troisième de la compagnie. Il a été construit au chantier STX de Saint-Nazaire et proposera le même itinéraire de 9 jours de Berlin à Prague et en sens inverse. Sur les 55 bateaux de la compagnie, 21 sont désormais classés 5 ancres. Au total, ce sont 170 itinéraires et 29 pays traversés - 20 fleuves en Europe -  qui sont proposés à la commercialisation.
 
 
Outre l’Europe, Croisieurope est désormais présent en Asie, en Afrique australe et en Amérique du Nord. Après le Yangtsé Kiang et le Spitzberg en 2017, le Saint-Laurent cette année connait lui aussi un bel engouement auprès du public.
 
 
Croisieurope insiste aussi beaucoup sur « le succès » de son programme en Afrique australe. En effet depuis le mois de janvier, la compagnie propose un safari-croisière de 11 jours dans le parc National de Chobé et sur le lac Kariba ainsi que sur le fleuve Zambèze à bord du RV African Dream, et séjour dans un lodge haut de gamme composé de 8 bungalows situé sur une île privatisée au bord du fleuve Zambèze. « Nous avons une grosse demande pour ce produit. Cela va être le succès de l’année 2018 – 2019 » assure Eric Collange, directeur commercial de Croisieurope. L’enthousiasme est tel qu’un deuxième bateau devrait être construit en Afrique australe à la fin de l’année.
 
 
Dans sa quête de satisfaire sa clientèle, la compagnie se tourne aussi vers 2019 avec la mise à l’eau de deux nouvelles unités.  Le MS Amalia Rodriguez sera construit pour naviguer sur le Douro. Ce sera le 6e bateau de Croisieurope présent sur ce fleuve. Un autre bateau, le MS Victor Hugo sera complètement rénové et remis au goût du jour pour naviguer sur le Danube.
 
Enfin, grande nouveauté, Croisieurope se fait fort à partir de mars 2019 de revenir en Egypte. Une croisière de 8 jours, « Les trésors de la Mer Rouge », à bord de La Belle de l’Adriatique permettra de découvrir Louxor et la Vallée des Rois, Karnak et aussi Pétra, la perle rose. « La demande est là. Il y a une attente du public. Lorsque nous avons présenté cette croisière à nos partenaires, nous avons reçu un accueil unanime » souligne Eric Collange.
 
 
Sur l’année 2017, Croisieurope a transporté 200 146 passagers dégageant un chiffre d’affaires brut de 170 millions d’euros, quasiment équivalent à celui de l’année précédente. « Sur les deux dernières années, nous avons investi 45 millions d’euros dans la rénovation et la construction de nouveaux bateaux » affirme Christian Schmittter qui précise qu’en 2018 le nombre de passagers devrait être identique à 2017, avec toutefois un panier moyen qui devrait progresser, actuellement compris entre 900 et 1 000 euros ».

Auteur

  • David Savary
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