Suivez-nous grâce à nos newsletters S'inscrire

Destinations

A Marrakech, Afat Ressources s'est penché sur l'Asie du Sud-est

Pour la première fois, les universités d'été d'Afat Voyages se sont déroulées à l'étranger.
A Marrakech, les vendeurs ont appris à "mieux vendre »…l'Asie, grâce à la collaboration d'Asia, des offices du tourisme de Thaïlande et de la Malaisie. L’occasion, aussi, de découvrir l’hôtel Royal Mirage, produit phare de Royal Tours, et de visiter quelques riads programmés par le tour-opérateur.
Après avoir organisé un Tour Academy en Thaïlande avec Asia (cf QDT 2744, vendredi 30 juin), Afat Ressources récidivait du 18 au 25 juin au Maroc avec le même partenaire dans le cadre de ses universités d'été "Mieux vendre l'Asie du Sud-Est". Un pari de « délocalisation » audacieux mais payant pour la structure qui tenait ses premières universités à l'étranger. Car lors de cette semaine de formation, les seize vendeurs ont non seulement pu tester le Royal Mirage, produit phare de Royal Tours à Marrakech, et découvert Essaouira, mais aussi et surtout, ils ont appris à maîtriser les faiblesses et les atouts de la Malaisie, la Thaïlande et de l'Indonésie. Béatrice Duverneuil, coordinatrice de formation Afat Ressources, n’avait rien laissé au hasard en alternant travaux pratiques des agents de voyages et jugements des experts. Première matinée : le groupe est divisé en trois équipes, lesquelles ont pour mission de bâtir un séjour de 15 jours dans ces trois destinations avec pour uniques outils, une carte routière et un guide… Pas simple. Surtout quand on n'a pas eu la chance de vivre les destinations sur le terrain. Mais chaque équipe se prend sérieusement au jeu, aidée par Yann Richard, directeur de la formation et de l'animation des ventes d'Asia et Béatrice Duverneuil qui donnent de précieux conseils. Les interrogations fusent. "Comment fait-on pour aller de Phuket à Ko Phi Phi ? »,  "Peut-on se mettre en maillot de bain sur les plages d’Asie du Sud-Est ?" Deux heures trente plus tard, la séance est terminée. Yann Richard fait une présentation générale du Sud-Est et rappelle quelques évidences : "Le Laos n'a pas d'accès à la mer". Il fait aussi le point sur le passage du tsunami : "Il n'y a jamais eu de vague de 30 mètres de haut et il n'y a plus de traces visibles en Thaïlande, à la différence du Sri Lanka". Avant de promouvoir plus généralement les raisons de vendre ce continent : "Les forfaits Asie sont porteurs de marge. Et, surtout, les gens qui partent en Asie y retournent'. Après une pause déjeuner bien méritée, c’est au tour du groupe "indonésien" de présenter le résultat du labeur de la matinée. Un exposé plutôt convaincant et un séjour qui tient la route malgré quelques hésitations bien compréhensibles. De nouveau, Yann Richard leur distille ses conseils : "Si on ne va pas à Jakarta, ce n'est pas très grave. Mais vendre Bali comme une destination balnéaire serait une erreur". Ce spécialiste de l’Asie, pour qui l'Indonésie n'a plus guère de secrets, est intarissable sur le sujet. Mais l’heure tourne. Le temps de dévoiler son hôtel "coup de cœur" à Bali -le Mercure Resort Sanur – et chacun s’en va clore cette journée studieuse par un dîner "Chez Ali" suivi d'une fantasia. Le lendemain, c’est au tour des filles de la "Thaïlande" de dévoiler brillamment leur projet. Apiradee Guyard, assistance marketing de l'Office du tourisme de Thaïlande, prend le relais : "A l'exception du ski et du vin, nous offrons la même diversité que la France". Elle en profite aussi pour dissiper quelques idées fausses largement répandues au sujet d’une météo estivale prétendument pénalisante : "En été, on peut sans problème aller sur les îles de la côte est comme Samui". C’est finalement l’équipe de Malaisie qui achève ce tour de table. Charlotte Hamel, responsable marketing de la Malaisie est impressionnée par le travail de ces agents de voyages qui ont aussi pensé à intégrer Singapour dans leur circuit. Non sans rappeler les attraits de la Malaisie qui fêtera ses 50 ans d'indépendance en 2007, elle regrette que ce soit encore une destination "peu connue du grand public français". Mais à l’issue de ce voyage, on sait déjà que seize vendeurs Afat Voyages pourront conseiller la Malaisie à leurs clients.
Un éductour à la clef pour 10 vendeurs

L'année prochaine, dix des vendeurs qui ont participé aux universités d’été d’Afat Ressources devraient partir en éductour avec Asia. "Nous avons mis en place un contrat de succès. Les agents de voyages devront en six mois vendre au moins la Thaïlande, la Malaisie et l'Indonésie" explique Béatrice Duverneuil. Un objectif qui ne devrait pas être trop difficile à relever. "J'ai été agréablement surprise par la performance des vendeurs alors que ce n'est pas un exercice évident" a-t-elle poursuivi. Certes, la formation s'est déroulée sur une semaine mais la responsable a choisi de maintenir la formule "week-end gagnant" en concentrant la formation Asie du Sud-est sur deux jours.
Asie

Auteur

  • Laurent Guéna
Div qui contient le message d'alerte

Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Déjà abonné ? Créez vos identifiants

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ? Remplissez les informations et un courriel vous sera envoyé.

Div qui contient le message d'alerte

Envoyer l'article par mail

Mauvais format Mauvais format

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format

Div qui contient le message d'alerte

Contacter la rédaction

Mauvais format Texte obligatoire

Nombre de caractères restant à saisir :

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format