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Destinations

En escale à Nantes, la Corse part à la conquête des régions françaises

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Après Lyon, Lille, Strasbourg, Metz, Nice et avant Bordeaux (le 8 novembre), les responsables du tourisme de l’île de Beauté se sont arrêtés à Nantes avec, dans leurs valises, une variété de vins savoureux et des produits gastronomiques de leur terroir.
Leur but : montrer à la presse et aux agents de voyages que la Corse regorge de saveurs et dispose d’un patrimoine riche qu’il faut découvrir toute l’année. Et pas seulement en juillet et août. "Cela fait 30 ans que les professionnels du tourisme corses disent que l’on ne peut pas vendre la destination toute l’année. Nous allons faire la démonstration que ce n’est pas vrai !" clame Jean-Marc Serra, de la CCI de Corse. "L’un de nos atouts actuels, est que la compagnie Volotéa propose des liaisons Nantes Ajaccio toute l’année. C’est unique, totalement novateur !" Pour Vanina Pieri, présidente de l’agence du tourisme de la Corse, il faut changer les habitudes des professionnels eux-mêmes : "Beaucoup d’hôtels fermaient après l’été mais avec cette nouvelle donne, ils ont décidé de maintenir l’offre tout au long de l’année". La Corse veut étendre la saison et aussi conquérir d’autres régions françaises. "Pendant trop longtemps nous avions axé notre développement sur la région parisienne, Paca et Rhône Alpes, reprend Vanina Pieri. Il était temps de chouchouter d’autres clientèles. Celle du grand ouest notamment est très sensible au patrimoine, à l’identité, à la culture, c’est une cible de choix". Selon Jean-Marc Serra, "en très peu de temps, le grand Ouest est même devenu la 2e région en fréquentation en dehors de l’été. Un résultat que les liaisons de Transavia annoncées entre Nantes et l’île pour avril 2013 devraient renforcer". Vanina Pieri est lucide : "non seulement il faut promouvoir la Corse toute l’année à l’extérieur mais aussi faire comprendre au sein de l’île toute l’importance du tourisme. Voici 30 ans, nous disions que le tourisme était pour la Corse un mal nécessaire. Il est devenu le fleuron de l’économie consulaire. Les professionnels en sont convaincus, à nous de montrer que notre accueil et nos services sont aujourd’hui à la hauteur pour recevoir tout type de clientèle".
Didier San Martin

Auteur

  • La Rédaction
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