C'est à partir de l'Intercontinental Bora Bora Resort & Thalasso Spa, plus commodément appelé "le Thalasso", que les quarante agents de voyages finalistes du Grand jeu autour du monde de Jet tours et Thomas Cook découvrent la star du Pacifique Sud : Bora Bora.Cette nouvelle journée démarre par un petit déjeuner à l'Intercontinental Le Moana Resort - l'un des premiers hôtels à avoir proposé des bungalows sur pilotis à Bora Bora - rejoint à bord de puissantes embarcations à moteur.
A l'issue d'une visite de l'établissement, l'expédition reprend la mer pour un tour de l'île et la découverte du lagon. Notre guide, Marona, est une figure locale qui possède de nombreuses casquettes. Il est à la fois le capitaine du bateau dans lequel nous avons pris place, le propriétaire de la flotille qui nous accompagne, un plongeur émérite, un expert en faune aquatique et surtout – selon lui - la mémoire vivante de Bora Bora. Il nous raconte l'origine du nom de l'île (Bora voudrait dire applaudissements) qu'il agrémente de multiples anecdotes patiemment recueillies auprès des anciens. Pendant qu'il parle, rit, se trémousse, apostrophe, invective, il pilote son bateau avec dextérité, mais se soucie peu des limitations de vitesse et des distances de sécurité, arrosant les passagers des autres embarcations dans un grand éclat de rire. Le Polynésien est joueur. La navigation se poursuit jusqu'à la barrière de corail pour une petite plongée au milieu des raies et… des requins. Marona nous met en garde. Il explique que les requins adorent le camembert (quand ce sont les Français qui plongent) et les hamburgers (quand ce sont les Américains), avant de nous annoncer finalement qu'ils ne se nourrissent que de poissons. Quand on vous dit que le Polynésien est joueur. Entre cris et éclats de rire, les participants découvrent la beauté des fonds sous-marins et se familiarisent prudemment avec la faune du lagon. Après le déjeuner sur un îlot de sable blanc, le groupe rejoint "le Thalasso" pour une visite approfondie. Cet établissement ouvert depuis 2006 appartient à Richard Bailey (également propriétaire des 3 trois autres Intercontinental de Polynésie et du Paul Gauguin) et un fonds d'investissement américain. L'hôtel se caractérise notamment par un système de climatisation très écolo qui fonctionne avec de l'eau pompée à 927 mètres de profondeur dans l'océan Pacifique. Mais avant de repartir pour Tahiti, les 40 lauréats retiendront surtout les 80 spacieux bungalows sur pilotis qui baignent dans un lagon aux couleurs époustouflantes et offrent une vue unique sur l'île majestueuse de Bora Bora.
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