Suivez-nous grâce à nos newsletters S'inscrire

Destinations

La région portugaise de l’Alentejo fait son tour de France

C’est la plus grande région du Portugal.
Et sans doute la moins connue. En cause, des infrastructures qui, jusqu’alors, n’étaient pas à la hauteur. Après Nantes le 18 mai, les responsables de son office de tourisme présenteront les nouveaux atouts touristiques de l’Alentejo lors de workshop* à Paris (le 19 mai), Lille (le 20) et Lyon (le 21).
 Elle couvre 1/3 de la surface du Portugal mais ne compte que 500 000 habitants, soit seulement 5% de la population portugaise. Essentiellement rurale, l’Alentejo, située entre Lisbonne et l’Algarve, est peu connue des touristes français. « Mais la situation commence à évoluer, se réjouit Vitor Fernandez Da Silva, président de l’agence de promotion du tourisme de l’Alentejo. Nous enregistrons désormais 35 000 touristes français par an pour 85 000 nuitées, soit plus du double que voici 10 ans ».
Les liaisons régulières opérées par Transavia et Portugalia depuis de grandes villes françaises vers Lisbonne boostent évidemment la destination d’autant qu’Evora, « capitale » d’Alentejo inscrite au patrimoine de l’humanité, n’est située qu’à 1H15 par autoroute de l’aéroport de Lisbonne.
Autre facteur favorisant une meilleure fréquentation, la nouvelle qualité de l’hébergement. « De nombreux châteaux et monastères plus ou moins abandonnés ont été réaménagés en Pousadas (équivalents des Paradores espagnols), souligne Antonio Lacerda, directeur général du tourisme de l’Alentejo, qui met également en avant quelque 400 demeures rurales, sortes de maisons d’hôtes de très bon niveau de services. Enfin, autre atout pour la région, l’ouverture par Fram d’un Framissima sur la péninsule de Troia (face à Setubal), en bordure de l’Atlantique « où, du fait des courants marins venus du Sud, l’eau est beaucoup plus chaude qu’à Lisbonne ! », promet Vitor Fernandez Da Silva.
Parmi les curiosités de l’Alentejo : de grandes régions de vignes, la production du liège (l’Alentejo se revendique premier producteur mondial de liège), de nombreux châteaux médiévaux construits pour se défendre de l’Espagne, des villes classées par l’Unesco, des sites mégalithiques, une côte Atlantique de quelque 150 km…
 « Le retard que nous avons connu sur l’ensemble de nos infrastructures nous permet de ne pas reproduire les erreurs commises ailleurs, reprend Antonio Lacerda. Nous ne tenons pas à construire de grands complexes hôteliers et misons, au contraire, sur l’authenticité et un tourisme responsable ».
Quant à la meilleure période pour venir séjourner, « c’est d’avril à juin et de septembre à octobre, indique Vitor Fernandez Da Silva. L’été, il fait très chaud et l’hébergement, très recherché par les Portugais eux-mêmes, affiche complet ».

* Workshop mardi 19 mai à Paris, chez Canelas, à 19h. Mercredi 20 mai à Lille, à l’hôtel Carlton, à 11h30. Et enfin jeudi 21 mai, à Lyon, à l’hôtel Cour des Loges, à 11h30.

Auteur

  • Didier San Martin
Div qui contient le message d'alerte

Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Déjà abonné ? Créez vos identifiants

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ? Remplissez les informations et un courriel vous sera envoyé.

Div qui contient le message d'alerte

Envoyer l'article par mail

Mauvais format Mauvais format

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format

Div qui contient le message d'alerte

Contacter la rédaction

Mauvais format Texte obligatoire

Nombre de caractères restant à saisir :

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format