"Le marché français a perdu 10 points à Maurice, mais nous, nous avons gardé le même nombre de visiteurs" affirme Robert de Speville, directeur commercial Beachcomber Hotels, dans le cadre des 6e Forces de vente loisirs d’AS Voyages qui se tiennent sur l’île jusqu’au 16 octobre.
Conscient toutefois que l’année 2013 risque d’être "plus difficile que 2012", le dirigeant se voit dans l’obligation de développer "des marchés alternatifs, tels que la Chine, la Corée du Sud ou encore l’Inde".
Et de préciser le faire "de façon progressive afin de conserver un mix clients". Tous marchés confondus, Beachcomber Hotels accueille dans ses 9 établissements "quelque 130 000 clients dont 25% de Français". "Nous n’allons pas rentrer dans une guerre des prix synonyme de baisse de qualité. Ne jouons pas aux cow boys sur le toile" assure encore Robert de Speville qui se félicite de disposer de son propre TO maison, Beachcomber Tours, « un avantage par rapport à nos concurrents ». Beachcomber entend aussi "respecter ses accords avec le réseau traditionnel" qui représente actuellement "75% » de ses ventes." Conscient toutefois que l’année 2013 risque d’être "plus difficile que 2012", le dirigeant se voit dans l’obligation de développer "des marchés alternatifs, tels que la Chine, la Corée du Sud ou encore l’Inde".
Selon les chiffres donnés par Michael Sik Yuen, ministre du Tourisme mauricien, l’île a accueilli 964 642 touristes en 2011 (environ 30% de Français), soit un chiffre équivalent à 2010. Sur les neuf premiers mois de l’année, l’île enregistre une augmentation de 2,3% de visiteurs et 8% en recettes touristiques. Si l’on s’en tient au réseau AS Voyages, il réaliserait "30% des ventes agences" sur Maurice en France.