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Destinations

Vers la fin de l'épizootie de grippe aviaire au Viêt-nam

45 provinces vietnamiennes ont déclaré n'être plus atteintes par la maladie.
Cette grippe n'a pas provoqué la vague d'annulations tant redoutée par les TO.
Les responsables de l'OMS ne veulent pas entendre parler de fin d'épidémie.
Le Viêt-nam devait annoncer officiellement hier en avoir fini avec la grippe aviaire, une semaine seulement après la mort d'une seizième victime dans le pays.
"Jusqu'à présent, 45 provinces ont elles-mêmes déclaré qu'elles n'étaient plus atteintes", a indiqué Nguyen Van Thong, directeur-adjoint du département de santé animale du ministère de l'Agriculture. vietnamien Cette annonce marquerait donc la rémission, peut-être provisoire, de l'épizootie de grippe aviaire au Viêt-nam dont les scientifiques redoutaient qu'elle provoque des millions de morts. Cette menace n'a finalement pas provoqué la panique observée chez les touristes lors de l'épidémie de Sras l'an dernier. Les tour-opérateurs le constatent tous, les clients s'éduquent peu à peu et apprennent à relativiser. Toutefois, si l'épizootie n'a pas provoqué de vagues d'annulation, elle a perturbé fortement les prises de réservation ces dernières semaines. Certains groupistes devaient d'ailleurs faire face à des reports importants. La grippe aviaire a toutefois fait des victimes. Plus de 38 millions de volailles sont mortes ou ont été abattues au Viêt-nam, dont 57 des 64 provinces ont été contaminées. Le Viêt-nam est le pays le plus touché par le virus H5N1, la souche la plus virulente de la grippe aviaire, avec seize morts. La Thaïlande a déploré de son côté 8 victimes et a retardé l'annonce de sa victoire sur la maladie. Les Nations unies ont régulièrement invité les pays touchés par la maladie à ne pas baisser la garde trop vite, craignant une reprise des foyers et un danger toujours important pour l'homme. "Il est trop tôt pour qui que ce soit d'annoncer la fin de la grippe aviaire. L'expérience nous a montré que cela prend des mois sinon des années pour éradiquer le virus de l'environnement," a estimé lundi Peter Cordingley, porte-parole en Asie de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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  • La Rédaction
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