Vacances Transat, en partenariat avec SAS, fait découvrir la Norvège à une dizaine d'agents de voyages.
Dernière étape avant de rentrer à Paris ? Lillehammer.Quitter les fjords et mettre le cap à l’Ouest vers Laerdal et l’église en bois debout ou "stavkirke", en norvégien dans le texte, de Borgund. C’est l’une des mieux conservées parmi les 28 que compte encore le pays. Bâtie entre les XIe et XIIe siècle, au moment de l’évangélisation de la Scandinavie, ces églises portent dans leur style et leur conception, la patte des artisans et des maitres charpentiers Vikings.Après cette petite étape culturelle, nous retournons en montagne, non sans croiser une troupe de Chinois affairés à se prendre en photo au détour d’un col enneigé. Cap sur les environs de Gol et plus précisément le Storefjell, étonnant complexe hôtelier planté au beau milieu des pistes de ski ou, à défaut de pouvoir observer les élans, on peut en croiser empaillés.
Sandrine, la guide, ayant décidé de profiter du temps passé sur la route pour parfaire notre éducation musicale norvégienne, c’est avec la ferme conviction que, quand on est vraiment bon dans certains domaines (par exemple le percement de tunnels, le coupage de bois ou l’élevage de saumons), il vaut mieux en laisser tomber d’autres dans lesquels on est moins bon que j’arrive à l’hôtel. Seuls ceux qui ont été enfermés dans un autocar pendant 3 heures avec du "A-ha" à fond les ballons peuvent me comprendre…
Le lendemain, en route pour Lillehammer pour une visite, d’abord du site olympique et de ses célèbres tremplins, ensuite du musée en plein air de Maihaugen, pour un aperçu de l’architecture et des modes de vie de toutes les régions et de toutes les périodes du pays.
Après un déjeuner sur place, dont mon poisson préféré était singulièrement absent, c’est le moment de prendre la route du retour, le long des rives du lac Mjosa, le plus grand du pays pour rejoindre l’aéroport. Adieu, veaux, vaches, saumons !