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Entretien avec César Balderacchi : "Le président du Snav espère un congrès de référence"

Vous vous apprêtez à participer à votre dernier congrès en tant que président du syndicat.
Dans quel état d'esprit êtes-vous ?
J'ai travaillé avec une profession honnête et compétente qui m'a fait confiance pendant dix ans. A Pékin, nous devons faire notre révolution culturelle. Concernant le Snav, j'espère que me succédera un président jeune, dynamique et compétent. On ne sait pas : peut-être que trente candidats vont se déclarer. Je souhaite que le président reste bénévole pour qu'il puisse continuer à jouer son rôle politique.
Comment allez-vous faire de Pékin le congrès de référence souhaité ?
Lors d'une séance institutionnelle, et grâce à des intervenants extérieurs, nous allons étudier les différences qui peuvent exister entre une fédération et un syndicat. Il faudra aussi se demander si c'est bien le rôle du Snav de signer des accords commerciaux. Et, aujourd'hui, il faut que l'on puisse parler de l'industrie du voyage. Il faut que l'on soit capable d'acheter, de vendre et de s'engager. De plus, ce congrès, comme le démontre, la présence de Gilles de Robien, ministre des Transports, va lancer l'année de la Chine en France. Ce pays est un enjeu absolu pour une majorité d'entreprises françaises dont, bien sûr, celles de l'industrie du voyage. J'espère que l'on sera l'ami de la Chine.
Les conséquences à la commission zéro seront bien sûres analysées ?
Il faut travailler à réparer une injustice, la discrimination qu'entraînent les différents taux de TVA : 5,5 % pour les frais d'intervention qui seront pris par Air France lors d'une vente directe et 19,6 % pour les agences de voyages. Et comme c'est Air France qui a supprimé les commissions, c'est à la compagnie de faire le lobbying nécessaire.
Un mot sur le président du congrès, Jean-Paul Chantraine ?
C'est un homme formidable. Nous lui devons beaucoup ; Asia a démontré qu'il était un tour-opérateur de grande qualité. Nous sommes solidaires de sa réussite. Un producteur qui gagne de l'argent, c'est un distributeur qui gagne de l'argent. Et il est bien naturel que des TO qui commercialisent la destination où se déroule le congrès en assurent l'organisation.

Auteur

  • La Rédaction
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