Signatures avec les opérateurs Switch et Voyages Loisirs.Une base de données unique pour l'ensemble des services.Grâce à Internet, plus besoin de formation poussée.
François Foucher, directeur commercial de I-resa, peut être satisfait du développement de son logiciel. "De gros opérateurs nous contactent", souligne-t-il. Ainsi, Switch, qui travaillera uniquement avec I-resa d'ici à la fin de l'année. On peut également citer Voyages Loisirs. I-resa, rappelons-le, travaille à aider les opérateurs à gérer leur stock. "Le logiciel a évolué avec de ‘petits clients’ comme Républic Tours. Les atouts du système ? Déjà, la transversalité. Nous sommes partis du principe que les TO font de plus en plus de distribution et que les distributeurs font aussi parfois du tour-operating. Notre outil, grâce à une base de données unique, permet de fluidifier l'information. Tous les services d'une entreprise accèdent à la même information au même moment", explique François Foucher. Pour lui, "les outils actuels du marché sont obsolètes". Tout simplement parce qu'ils restent dans leur corps de métier, "TO ou agences". Néanmoins, des collaborations restent possibles, "notamment pour toutes les applications CRM", précise le responsable commercial. Ensuite, l'outil permet de segmenter son stock en fonction du réseau de distribution (B2B, B2C, B2C2B). "Le même produit peut être déployé à l'infini", affirme François Foucher. "Et grâce à un système d'alerte, le service production peut sensibiliser en temps réel le webmaster afin de mettre en ligne telle ou telle promotion", ajoute-t-il. Il souligne aussi le développement d'une fonction "dynamic packaging" ou encore la possibilité d'accéder à diverses statistiques. Enfin, le fait de travailler uniquement sur Internet facilite "considérablement la formation". Pour François Foucher, " avec I-resa, on peut utiliser un système de gestion en interne comme on utilise un site web". La société I-résa, créée en 2002, compte aujourd'hui 17 salariés, contre 8 à ses débuts. L'entreprise recrute actuellement des ingénieurs. “Mais ce n'est pas facile, affirme François Foucher. Les nouvelles technologies ne s'apprennent pas dans les écoles."
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