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Distribution

Un mois d'avril chargé pour Laurent Abitbol (Marietton)

Le 22 avril, quatre des premiers Naya Clubs du groupe Marietton ouvriront.
Laurent Abitbol, son dirigeant, s'en félicite et prépare déjà la suite, avec deux autres hôtels clubs 100 % français, 100 % Marietton en 2017. Mais une autre date importante approche aussi pour le Lyonnais, celle de l'élection des administrateurs Selectour Afat. Il nous explique pourquoi.
 Chez Marietton, on se frotte les mains. Ses cinq premiers Naya Clubs se vendent bien. "Quatre de nos clubs, ceux de Corfou, Majorque, Crète et Sardaigne ouvrent avec leur staff français le 22 avril et celui de Zante le 20 mai" précise Laurent Abitbol, président du directoire de Marietton Investissements. Le Lyonnais réserve à certains clients d'avril et mai une belle surprise. Treize rotations s'effectueront avec Air France en A320 depuis Lyon, Paris et Clermont-Ferrand. Objectif : tester une éventuelle montée en gamme de ses clubs en interrogeant, à l'issue de leur voyage, les clients sur cette "surprise". "Rien ne leur est dit au préalable" sourit Laurent Abitbol.
Une vingtaine de GO managés par Mockrane Bir (un ancien du Club Med) ont été embauchés pour ces Naya Clubs. "Au total, nous avons créé plus d'une centaine d'emplois depuis janvier, avec la reprise du réseau Havas Voyages et des agences Auchan ou la création de ces Naya Club..." avance le dirigeant aujourd'hui à la tête de quelque 446 agences de voyages, parmi lesquelles toujours des Selectour Afat.
Parviendra-t-il cette année à décrocher un poste d'administrateur aux prochaines élections du réseau le 18 avril prochain ? Laurent Abitbol se représente en effet. "J'ai déjà reçu une cinquantaine de mails de soutien. Et ceux qui me donnent leur voix sont ceux qui font du business" se félicite Laurent Abitbol. Le dirigeant souhaite en effet impulser une direction plus économique que politique. "Le réseau doit travailler pour les agences de voyage afin qu'elles obtiennent la plus grande rémunération. On ne peut pas repartir sur des décisions comme ces commissions TTC. C'était une grosse bêtise. Je veux défendre l'argent des adhérents. Sans mettre en péril bien sûr le réseau" explique le candidat. Pour lui, Selectour Afat a besoin d'une nouvelle stratégie, d'un conseil d'administration qui donne l'impulsion politique et d'un DG qui prend la main sur les décisions quotidiennes.
Conscient que la taille de Marietton peut effrayer, il précise : "Un groupe comme le nôtre amène aux plus petits des super-commissions. Ce qui me motive c'est l'économie, pas le pouvoir. Du pouvoir, j'en ai déjà assez dans mon groupe !". Sa profession de foi saura-t-elle convaincre cette année? Réponse lundi 18 avril.
 
Laurent Abitbol

Auteur

  • Nathalie Ruffier
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