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Nouvelle-Calédonie

Quelles activités "nature" peut-on pratiquer sur Grande Terre ?

Dans le lagon ou sous le manteau tropical du cœur montagneux de l’île, les activités de la Grande Terre sont axées sur l’écotourisme. Certaines peuvent être pré-réservées par les réceptifs des tour-opérateurs, mais sachez que les tarifs sont parfois plus avantageux sur place. Nous conseillons donc aux clients intéressés de se renseigner avant de partir, même quelques jours à l’avance seulement, car de nombreuses activités ne sont organisées que sur réservation ou à la demande. 
Sur le sol ou sur les rivières
•    Randonnée pédestre. Grâce à son nouveau sentier balisé de 52 km (la Transprovinciale sud), l’extrême sud de l’île est la région la mieux adaptée à la randonnée. Fractionné en trois étapes d’une journée (bivouac chaque soir ; également réalisable à la journée depuis Nouméa), il relie la baie de Prony au Parc national de la Rivière bleue (à 50 min de voiture de Nouméa). Le descriptif de cette randonnée est disponible auprès de l’OT de la Province Sud (www.randonnee-gr-sud-nc.com), qui peut également indiquer les coordonnées de guides et fournir le tracé des 11 autres sentiers balisés sur la moitié sud de Grande Terre (au départ de Sarraméa, Bouloupari et Farino…). Si le reste de Grande Terre ne manque pas de sentiers, aucun n’est pour l’instant balisé. Il faudra donc faire appel aux tribus et aux Syndicats d’initiative pour trouver un guide (indispensable pour traverser les terres kanak).
•    Randonnées et balades à cheval. Indissociable des stations d’élevage, l’équitation se pratique au départ des bourgs (prestataires sur place) et des ranchs de la côte ouest (à Bouloupari, La Foa, Bourail, Koné…). Des grandes plaines jusqu’aux crêtes des montagnes, c’est l’occasion rêvée d’aller à la rencontre de la “brousse” pour une promenade d’une ou plusieurs heures ou pour une randonnée de 1 à 3 jours (pour cavaliers confirmés). Ailleurs, Nouméa et sa région possèdent aussi quelques prestataires et les tribus kanak de Hienghène (côte nord-est) peuvent organiser des balades dans la région.
•    Golf. Le sud de Grande Terre possède 3 terrains de golf 18 trous : celui de Tina à Nouméa, celui de Dumbea (à 10 km de Nouméa) et celui de la Ouenghi (une heure au nord de Nouméa ; hébergement sur place).
•    Chasse. La chasse au fusil fait partie intégrante de la culture calédonienne. On y traque le cerf Rusa, le cochon sauvage et le dindon. Des séjours de chasse sont organisés par plusieurs professionnels de la côte ouest (à La Foa, Bouloupari, Bourail…). La chasse est ouverte toute l’année, cependant les meilleurs trophées se trouvent de juillet à novembre.
•    Canoë-kayak en rivière. C’est le sud de l’île qui est le mieux équipé, avec notamment des sorties encadrées au départ de Nouméa pour des descentes de la rivière Dumbéa (2 heures, tous niveaux) ou de la Rivière bleue au milieu de la forêt immergée.
•    Quad. Des excursions guidées sont proposées sur les pistes du Grand Sud (une demi-journée à 2 jours) et dans la forêt des régions de Bourail ou de Farino, sur la côte ouest.
Sur Mer
•    Sports nautiques. Les hôtels 2* et 3* de Poum et de Hienghène disposent de petites bases nautiques, mais ce sont les plages de Nouméa (l’Anse Vata et celle de l’hôtel Méridien) qui sont les mieux équipées (locations de planches à voile, catamarans, pédalos, kayaks…). De là, on peut aussi partir randonner en jet ski vers les îlots de la baie. Le surf se pratique quant à lui essentiellement sur deux sites de la côte ouest : au niveau de la passe de Dumbéa (région de Nouméa) et près de la Roche Percée (à Bourail). Enfin, on peut louer des kayaks de mer sur la plage de Bouraké (à Bouloupari) et sur celle de Poé (à Bourail). A noter, certains hôtels de Nouméa donnent la possibilité de pratiquer gratuitement les sports non motorisés de l’Anse Vata.
•    Des sorties en mer. C’est au départ de Nouméa que l’on trouvera le plus vaste choix grâce aux excursions vers les îlots au large (voir question 13). A l’extrême nord de l’île, des prestataires organisent des sorties vers les îlots au large de Koumac (ainsi que des croisières en voilier de 1 à 3 jours) et de Poum. Au départ de Bouraké (commune de Bouloupari), sur la côte ouest, l’excursion vers la réserve marine de l’îlot Tenia permet en général d’observer des dauphins.
Et de juillet à la mi-septembre, il ne faut pas manquer les sorties d’observation des baleines à bosses qui stationnent dans la baie de Prony, à l’extrême sud de l’île, durant leur migration. Des excursions à réaliser au départ de Nouméa et de Prony.
Et aussi. De la pêche au gros, au lancer, à la mouche, de la pêche sous-marine... Sans oublier la plongée (voir questions 21 et 22), puisque le lagon calédonien est un must en la matière.
 
Dans les airs
La palette de couleurs du lagon n’étant jamais aussi époustouflante que vue du ciel, on pourra effectuer un survol de découverte en hélicoptère (tours de 15 minutes à 1 heure, depuis l’aérodrome de Magenta) et en avion, mais aussi en ULM (prestataire à Nouméa). Le centre école de parachutisme installé à La Foa (côte ouest) organise également des baptêmes.

Auteur

  • La Rédaction
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