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Yucatan

Quels sont les principaux sites touristiques de l'Etat du Yucatan ?

Les vestiges mayas :
L’architecture maya compte parmi les chefs d’œuvre du patrimoine bâti mexicain. Si on en trouve des exemples ailleurs au Mexique, c’est au Yucatán que se situent les sites les plus célèbres avec des cités-Etats précolombiennes pratiquement intactes.
•    Chichen Itza : immense (300 hectares), le plus célèbre site maya de la péninsule est aussi le mieux restauré. Fondée au Xe s., elle fut la dernière grande capitale du monde maya entre le XIe et le XIIIe s. et on admire aujourd’hui son vertigineux temple-pyramide à neuf terrasses que l’on peut gravir, ses temples, son terrain de jeu de balles et le cenote où s’effectuait des sacrifices humains.
•    Uxmal : point de départ de la «Route Puuc», ce site est l’exemple le mieux conservé du style architectural Puuc (entre le VIIIe et le IXe s.) qui se caractérise par l’abondance de mosaïques en relief et ses édifices allongés. On y admire également    deux pyramides.   
•    Ek’Balam : à 17 km de Valladolid, ce vaste site encore à demi enfoui sous la végétation est l’un des plus fascinants du Yucatán, notamment pour son immense pyramide au sommet de laquelle on aperçoit celles de Chichen Itza et de Coba.
 
•    Mayapan : ultime capitale maya située à 50 km de Mérida, ce vaste ensemble de ruines peu restaurées impressionne surtout par sa pyramide qui rappelle celle de Chichen Itza. 
Les villes coloniales :
De trois siècles de domination coloniale espagnole, le Yucatán a conservé quelques charmantes villes aux demeures élégantes agencées autour de parcs et de places ornées de fontaines.
•    Mérida : surnommée la «ville blanche», la capitale du Yucatán s’est beaucoup étendue (600 000 hab.) depuis sa fondation par les Espagnols en 1542. Très agréable à parcourir à pied, son centre historique a conservé ses rues étroites et ses demeures élégantes aux fenêtres en fer forgé. Dominée par sa cathédrale du XVIe s., c’est autour de sa place centrale et dans ses environs que s’alignent les édifices les plus remarquables. Son marché qui se tient tous les jours est aussi le meilleur endroit pour acheter de l’artisanat local. Et son musée consacré aux Mayas est l’indispensable préalable à la visite du Yucatán. 
•    Izamal : paisible bourgade, celle que l’on surnomme «la ville jaune» en raison de la couleur de la plupart de ses édifices est la plus belle cité coloniale du Yucatán. Son couvent (monastère, église et chapelles), l’un des plus vastes d’Amérique, est un superbe exemple de l’architecture religieuse de l’époque. Et trois des douze pyramides mayas que comptaient la ville ont été restaurées.  
•    Valladolid : si du fait de sa destruction partielle pendant la «guerre des castes», la seconde ville de l’Etat a perdu de sa splendeur, ses quelques bâtisses coloniales et sa place centrale valent d’autant plus le détour que la ville est une halte agréable à mi-chemin entre Mérida et Cancun.
Les sites naturels : 
•    Les «Réserves de la biosphère» :  l’Etat abrite deux vastes estuaires entourés de mangroves qui sont des sites protégés classés «Réserves de la biosphère». Elles hébergent parmi les plus importantes colonies de flamants roses du continent ainsi que des centaines d’autres espèces d’oiseaux que l’on découvre lors de sorties en bateau.
 
•    Les cenotes : caractéristiques du plateau calcaire du Yucatán qui absorbe l’eau de pluie, ces puits naturels d’eau douce à ciel ouvert abondent dans l’Etat. Souvent vénérés par les Mayas, ils constituent aujourd’hui un intéressant but de visite, d’autant plus qu’on peut se baigner dans leur piscine naturelle. On en trouve notamment dans les environs de Valladolid (cenotes de Dzitnup et de Zaci), à Ik Kil (3 km de Chichen Itza) et à Dzibilchaltun à proximité de Mérida (cenote Xlacah).
Les haciendas :
L’Etat du Yucatán possède une dizaine d’haciendas bien conservées et ouvertes au public. Certaines ayant été transformées en petit hôtel de charme (Santa Rosa, Temozon, San Jose, Chichen, Xcanatun, Katanchel) tandis que d’autres comme celle de Yaxcopoil (à 33 km de Mérida) hébergent un musée où perpétuent encore le travail du sisal (hacienda San Miguel Chac, à 2 km de Hunucma sur la route Mérida-Celestun).

Auteur

  • La Rédaction
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