À quelques jours de l'ouverture de la Cop 21, et alors que les questions environnementales battent leur plein, le vélo a le dérailleur en poupe.Dans les villes, il représente même, à coup sûr, le meilleur avenir possible.
D’abord, parce que le vélo, c'est gentil pour notre environnement. Ensuite, parce qu'il est bon pour notre cœur et nos mollets. Par contre, c’est certain, il faut prévoir quelques légers aménagements. En cas de pluie par exemple, rien n'empêche d'installer au-dessus du vélo, une sorte de petit toit. En cas de vent, un petit pare-brise serait utile et même – le fin du fin – un système de balais qui puisse essuyer cette vitre. Dans le cas classique d'un touriste qui débarque de l'aéroport, il faut, pour ses bagages, inventer un nouveau système. On peut, par exemple, imaginer d'énormes sacoches à l'arrière. Pour répondre à un souci d'équilibre, il convient d'ajouter une roue, voir, bien mieux, deux roues. La stabilité est alors totale. En plus, on a même la place, sur notre vélo, d'installer à côté de soi un deuxième cycliste. Voir, quelques passagers à l'arrière ! Ah ! Bien sûr, le tout risque de peser un peu lourd, surtout dans les côtes. Eh bien, il suffit d'y adjoindre un moteur que l'on placerait à l'avant, ça équilibrera avec les valises, à l'arrière. Et pour la direction, mieux qu'un guidon, on pourrait, par exemple, fixer... un volant ? Hum… à la réflexion, n'en déplaise à la Cop 21, la voiture a peut-être encore de beaux jours devant elle…Billet d'humeur