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Institutions

La productivité des agences s'est améliorée

La marge brute se dégrade de plus de 1 % sur un an.
La rentabilité revient au niveau de l'exercice 2000-2001.
Les réceptifs sont sanctionnés après deux exercices.
Sur l'exercice 2002-2003, la marge brute des distributeurs se dégrade de plus de 1 % par rapport à l'exercice précédent.
C'est une des tendances que dégage une étude de l'APS sur "les ratios moyens des agences de voyages" à la lecture du bilan de 80 licences effectué depuis trois ans. Néanmoins, la rentabilité nette s'améliore (0,87 %) avec une progression de 0,28 % et revient ainsi au niveau de 2000-2001. "Ce qui n'est pas paradoxal, souligne Bernard Didelot, vice-président de l'association et auteur de l'étude. Il s'agit là d'une amélioration de la productivité, une tendance lourde depuis dix ans." Ainsi, le volume d'affaires réalisé par salarié était en 2002-2003 de 667 000 euros alors qu'il était en 2000-2001 de 610 000 euros. Autre point : la revente "billetterie transporteur" a progressé de 7,82 % mais cela est aussi dû à un "effet mécanique" compte tenu de l'augmentation des taxes. Bernard Didelot souligne que "neuf sociétés sur 80 passent en résultats nets négatifs même si ces pertes sont peu significatives et proches de l'équilibre". Pour les réceptifs - mais cette analyse pourrait aussi valoir pour les distributeurs - il a fallu deux exercices "avant d'être sanctionnés" après avoir "raclé les fonds de tiroir". La rentabilité nette chute de plus de moitié, ce qui s'explique notamment "par une quasi-stagnation du volume ainsi que des résultats négatifs significatifs pour deux licences". Bernard Didelot tient à préciser que "la disparition de ces deux sociétés ne [lui] permet pas de travailler à périmètre constant". Enfin, pour les sociétés qui font de la production en direct, la "rentabilité nette se dégrade très légèrement et revient au niveau de 2000-2001". Enfin, Bernard Didelot précise que "l'étude concerne des sociétés dont la majorité (70 %) clôture son exercice au 31 décembre 2002 et pour les autres au premier semestre 2003". Ce qui entraîne "un décalage de plusieurs mois par rapport à l'actualité". Des chiffres qui sont donc "à manier avec beaucoup de précautions mais qui permettent néanmoins de dégager quelques tendances".

Auteur

  • La Rédaction
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