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Institutions

Le 46ème Congrès du Snav en images

Comme lors des dernières éditions, le Snav a démontré qu'il était une formidable vitrine pour aider les agences à mieux vendre la destination choisie pour accueillir son congrès.
En marge des séances de travail, un congrès du Snav est toujours une magnifique occasion de découvrir une destination dans des conditions privilégiées.
Pékin n'a pas dérogé à la règle. En effet, les quelque mille congressistes n'auront sans doute plus jamais l'occasion de prendre place dans le Palais du Peuple, place Tian'anmen, pour écouter dans ce lieu chargé d'histoire la vice-Premier ministre de la République de Chine, Mme Wu Yi ou encore Gilles de Robien, ministre des Transports et du Tourisme. Et malgré la fatigue occasionnée par les quelque neuf heures d'avion et les sept heures de décalage horaire, les congressistes auront longuement applaudi le spectacle qui a suivi les discours des politiques. Tout comme ceux de Jean-Paul Chantraine, président d'Asia, et de César Balderacchi, président du Snav. Ensuite, il y a les lieux qui méritent le qualificatif "d'obligés" : la Cité Interdite, déjà. Malgré le froid, le palais où a été tourné le Dernier Empereur, mérite bien deux heures de visite. Et l'on s'imagine sans peine, grâce au talent des guides francophones, comment la vie devait s'organiser sur 72 hectares avant l'abdication de Pu Yi en 1924. La Chine, c'est aussi et bien entendu, sa muraille. On dit qu'on la voit de la Lune. Pour notre guide, une seule certitude, "on voit la Lune de la muraille de Chine". A 1 h 30 de notre hôtel, le temps de s'apercevoir par les fenêtres de notre autocar comment Pékin est en train de se transformer, on arrive sur le site de Badaling. Avant d'atteindre l'entrée de la muraille, il faut d'abord passer devant d'innombrables boutiques de souvenirs et vendeurs de chapka. Jean-Cyril Spinetta, président d'Air France, n'a pas au hasard offert aux congressistes une franchise exceptionnelle pour les surplus de bagages. Et puis, il faut grimper. La côte est rude, les escaliers sont irréguliers, la descente difficile… la vue se mérite mais elle est sensationnelle. Enfin, un mot sur les repas. La cuisine chinoise est sans conteste l'une des meilleures du monde. Mais, il faut le préciser elle est mieux adaptée à nos palais quand elle est servie dans les restaurants en France. Il n'empêche : la diversité des plats et la rapidité du service n'ont pu que convaincre les congressistes de l'efficacité des réceptifs chinois quand il s'agit de nourrir mille congressistes. Même si la place à l'improvisation est quasiment nulle. "Neuf heures, le dîner est terminé…"

Auteur

  • La Rédaction
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