Bien que les agences de la principauté soient adhérentes de réseaux volontaires et revendent les TO de l'Hexagone, elles ne relèvent pas du droit français."Ici nous exerçons par autorité princière" affirme Corinne Bertani (Heli Air Voyages), présidente du SMAV, syndicat monégasque des agences de voyages, qui regroupe à ce jour 10 agences.
Et de préciser que "la sélection est stricte étant donné le prix très élevé du droit de bail". Ces agences, qui ne rentrent pas dans le cadre du droit français, n'ont pas de licence, ni d'APS. "Néanmoins nous sommes membres associés du Snav. Nous payons une cotisation annuelle, ce qui nous donne droit à la formation et au conseil" poursuit la dirigeante. Mais licence ou pas, à Monaco comme ailleurs, cela n'empêche pas le paracommercialisme de se développer.
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