Le Clair se réunira mercredi 13 décembre pour prendre une position officielle sur ce dossier."Les régions ne sont pas satisfaites.
Ce projet ne nous fait pas rire", explique Lucette Lerault, présidente du Clair (regroupement des chambres syndicales régionales au sein du Snav). Dans le cadre du changement des statuts, seuls trois présidents de région - "un producteur, un distributeur, un réceptif "- pourraient peser sur l'élection du président. Actuellement, les seize présidents de région font partie du conseil national. "Sans les régions, le Snav n'existerait pas. Nous siégeons dans les CDAT (commissions départementales d'action touristique), nous y recrutons des adhérents", martèle-t-elle. Par ailleurs, elle ne comprend pas que l'on puisse accuser les régions d'avoir entraîné le départ des tour-opérateurs du Snav. "Je ne pense pas que les producteurs aient quitté le Snav pour le simple motif que le dossier de la réforme des statuts n'avance pas". Le Clair se réunira mercredi 13 décembre pour prendre une position officielle sur ce dossier.
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