Avec Jet tours, 90 agents de voyages atterrissent au Paradis

Direction Flic-en-Flac où ces 90 gagnants du challenge des ventes Jet tours sont invités à découvrir l'Eldorador Villas Caroline. Cap ensuite... vers le Paradis. Cet établissement 5 étoiles – car oui, même si les écritures saintes ne le mentionnent pas, le Paradis est un hôtel –, n'a pas que le nom qui séduit.
Et beaucoup tombent sous le charme : "Du luxe et du raffinement, je suis enchantée",    lance Corine, de Boiloris à Neuilly. "Avec notre métier, nous en avons visité des hôtels, celui-ci est magnifique", commente Nathalie de Thomas Cook Voyages à Bruay la Buissière (62).
Mais l'heure n'est pas à la dégustation des plages de cocotiers ni des services de l'hôtel. Car au Paradis, on travaille. On y travaille beaucoup même.
Toute la journée de jeudi ainsi que la matinée de vendredi sont entièrement consacrées à des conférences ou des ateliers.
L'effort demandé semble d'autant plus difficile que dehors, le soleil nargue les participants en brillant sous un ciel sans nuage et que la mer transparente les invite à la baignade. Personne ne cède, tous sont studieux, très attentifs même. Chapeau.
Au programme, la présentation des partenaires : Air Mauritius, le réceptif Connections, l'office de tourisme de l'île Maurice, Air France et aussi 6 hôtels Beachcomber où la présence de directeurs a été clairement appréciée.
Jet tours a également décliné sa production et Yann Hulot, commercial du TO, s'est même fendu d'un bonnet d'hiver et d'un extrait musical des "Bronzés font du ski" pour introduire son sujet. "Pour présenter la neige à Maurice, il me fallait bien une transition !", sourit-il. Mention spécial aussi à Philippe Dachier dont beaucoup de participants ont vanté sa culture et sa capacité à transmettre sa passion pour les circuits du TO.
Vendredi après-midi, quartier libre. Certains ont opté pour une ballade en bateau de verre, d'autre pour un SPA. Yann a emmené 15 agents à la découverte de la rhumerie de Chamarel, dans les hauteurs de l'île (notre photo) où l'on a pu comprendre (un peu) la fabrication du fameux breuvage et (beaucoup) le goûter.
Certains agents, consciencieux jusqu'au bout, ont profité de l'après-midi pour visiter d'autres hôtels, notamment le voisin Dinarobin. Enfin d'autres, prudents, ont préféré faire une sieste très prolongée. C'est que les ateliers étant terminés, les nuits prochaines s'annoncent beaucoup plus longues et mouvementés que les précédentes...