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Production

Avec Jet tours, l'arrière pays mauricien s'ouvre à 90 agents de voyages

Si on part du principe que c'est juste passé minuit que débute une journée, alors celle de samedi a commencé sur une piste de danse.
Une très belle piste extérieure de l'hôtel Beachcomber Paradis, où un talentueux orchestre mauricien s'évertue à jouer pour un unique et tout jeune couple improbable : elle, joyeuse dans sa robe de mariée, lui, manifestement coincé dans son costume. Une crispation due à la fatigue ? Une appréhension quant à sa future nuit de noce ?Toujours est-il que leur isolement un peu tristounet ne durera qu'un temps puisque, quelques minutes après minuit, une horde d'agents de voyages investit les lieux et fait vraiment honneur à l'orchestre. Et aux jeunes mariés que tous entourent et applaudissent. Vers une heure, cette même troupe guillerette d'agents de voyages file vers la discothèque de l'hôtel, et on n'en saura pas plus sur les activités futures des jeunes mariés (même si on en a une petite idée).
Certains suivent, jusqu'à très tard, le rythme des amplis en grande forme côté décibels. D'autres jugent qu'il est temps de rejoindre leur chambre et dormir. Mais c'est sans compter la navigation à vue de quelques égarés, plus forts à trouver une piste d'atterrissage qu'à s'orienter dans l'hôtel, tambourinant alors, par erreur, à quelques portes, réveillant par la même des passagers du vol à destination de Morphée. 
Le départ pour la visite de l'île est donné à 7H45. Tous sont au rendez-vous, même si on décèle quelques yeux, aussi petits que la gueule de bois est grande. 
Départ vers la montagne du Morne qui, autrefois, servait de refuge aux esclaves évadés. Lors de l'abolition de l'esclavage (effective en 1833), une délégation y a été envoyée pour annoncer aux évadés la bonne nouvelle. Mais par crainte d'être punis, les esclaves terrifiés ont jeté les émissaires du haut de cette montagne ! Celle-ci fait désormais partie des sites classés de l'Unesco.
Les agents de voyages longent ensuite les réserves de cerfs (on en compte plus de 100 000 sur l'île soit environ 1 cerf pour 10 habitants !). Ils découvrent  les chutes de Chamarel (notre photo), les surprenants vestiges volcaniques des Terres de 7 couleurs, le musée du thé de Bois Chéri ou encore le lac sacré de Grand Bassin, haut lieu de la religion Hindou. Cet endroit est très prisé des singes (également sacrés), au grand dam d'Agnès du réceptif Connections, en prise avec l'un d'entre eux, qui s'est emparé des pâtes de fruits destinées aux agents de voyages, qui a bu quelques verres et qui a été ensuite très difficile à déloger... 
L'après-midi sera consacrée à la visite de l'hôtel Beachcomber Trou aux Biches (pour qu'il y ait autant de cerfs sur l'île, il faut bien qu'il y ait des biches non ?) dont les chambres rénovées ont fait fort impression. S'en est suivie d'une halte shopping à Grand Baie. Une halte jugée, évidemment, beaucoup trop courte.
Jet tours

Auteur

  • Didier San Martin
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