Il compte 90 adhérents sur 130 sites.Et existe depuis une dizaine d'années.Sur 130 parcs et sites de loisirs recensés en France, 90 sont adhérents au Snelac, le Syndicat national des espaces de loisirs d'attractions et culturels.
Quel est son rôle précisément ? Encore méconnu des professionnels, il a pris le relais depuis une dizaine d'années de France Parcs en agissant en tant que "syndicat professionnel ouvert à tous les sites de loisirs qui exploitent un espace clos et aménagé à vocation récréative et/ ou culturelle". Sa cible est donc large tout comme les missions qu'il mène. Divisé en commissions, il est aussi bien en charge des problématiques de gestion des exploitants de sites qu'intervenant dans la négociation de la convention collective des espaces de loisirs avec les partenaires sociaux sur des sujets tels que les rémunérations, l'emploi et la formation. Il participe également à l'élaboration des normes concernant les attractions, la sécurité des visiteurs et la maintenance. Pour les nouveaux projets, la commission attitrée a pour mission d'étudier le marché des sites de loisirs et d'observer les conditions de création des projets en cours. Enfin, la commission tourisme établit des liens étroits avec le ministère du Tourisme en travaillant à l'amélioration de la signalétique routière pour accéder aux sites et plus généralement en valorisant tout moyen mis en œuvre pour connaître les sites de loisirs français. En parallèle, le Snelac édite le magazine mensuel Divertir, qui a pour orientation de capter les tendances du marché et de diffuser l'actualité des espaces de loisirs.Le parc Disneyland Paris, adhérent actif du Snelac, a accueilli depuis le 22 mars un nouveau responsable en charge des ventes et de la distribution France en la personne de Norbert Stiekema. "Son premier chantier : Internet. Manque de flexibilité, retard des ventes, tels sont aujourd'hui les deux principaux axes de développement pour le Web. De plus, il poursuivra les efforts engagés pour améliorer nos relations avec nos partenaires tant pour les sites B to B que B to C", souligne Yann Caillère, DG délégué d'Euro Disney SA.
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