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Production

Havanatour se tourne vers le monde maya

Le tour-opérateur aura après Top Résa des produits à la carte vers le Yucatan.
Il cherche à développer des produits culturels mayas plutôt que balnéaires.
La durée des formules est modulable et le départ s'effectue depuis La Havane.
Cuba devient une rampe de lancement pour Havanatour vers le monde maya.
La filiale française du groupe touristique cubain Havanatur SA proposera à partir du 1er novembre 2004 une gamme de produits à la carte vers les États mexicains du Yucatan, du Campeche et du Quintana Roo, proposés en extension depuis La Havane. "Depuis quelque temps déjà, Havanatur SA nous y incitait Cancun et Merida étant dotées de représentations réceptives", explique Una Liutkus directeur commercial de Havanatour France. "Or, nous ne voulions pas développer du balnéaire comme Cancun, mais plutôt une découverte inédite du monde maya." S'ouvrir à cette partie du Mexique est d'autant plus opportun que la fréquentation des touristes français y est en hausse significative, tandis que vers les îles cubaines elle est en chute (– 14 % entre janvier et mai 2004). "J'ai observé avec intérêt l'évolution des courbes concernant les séjours balnéaires, mais il reste à mon sens beaucoup de choses à faire dans le domaine des voyages culturels." Déjà reconnu comme spécialiste dans ce domaine à Cuba, Havanatour entend bien le devenir sur la région appelée abusivement Yucatan (puisque, en fait, il s'agit de trois États). "Nous vendrons cette offre en extension avec une première nuit à Cancun et des visites en autotours vers Chichen Itza, Uxmal, Campeche, Merida et un site archéologique inédit à 30 km de la frontière guatémaltèque, Calakmul." La durée de l'extension est donc modulable, selon le programme défini par les clients. Les vols sont quotidiens et au départ de La Havane. Enfin, si Havanatour a choisi Cancun comme ville d'arrivée, Campeche a ses faveurs pour servir de "camp de base". "C'est une ville classée au patrimoine mondial de l'Unesco, similaire à La Havane avec son architecture coloniale très bien conservée", explique Una Liutkus. Elle présente ainsi pour le TO une continuité culturelle dans sa stratégie de diversification, qui pourrait d'ailleurs s'intensifier avec des circuits et d'autres régions mexicaines si les produits mayas rencontrent leur public.

Auteur

  • La Rédaction
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