Selon Nicolas Brumelot, directeur général, la cession de Go Voyages débouchera sur "'accélération de son développement à l'international", avec une "offre différenciée par pays" tel que l'Espagne, le Portugal, la Belgique et les Pays-Bas.Les candidats sélectionnés, qui ne sont pas plus de cinq, devront "transformer leur offre indicative en offre ferme d'ici fin janvier" a précisé Nicolas Brumelot à l'AFP.
Ces repreneurs potentiels sont des "fonds d'investissement et des industriels du voyage de taille internationale". On sait que les dirigeants, Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot, souhaitent aussi faire partie du capital. Les deux cadres détenaient des parts dans Go Voyages avant sa cession progressive à Accor, qui a acquis 38,5% en mai 2000 avant de porter sa participation à 100% en juin 2004. "Pour nous, ce sera une opportunité de redevenir actionnaires" avait déjà pu déclarer Nicolas Brumelot lors de l'annonce du groupe Accor. Le retour des dirigeants dans le capital serait une bonne nouvelle pour les agents de voyages. L'hôtelier, il faut bien le rappeler, n'est jamais intervenu dans la stratégie opérationnelle de Go Voyages.
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Le repreneur de Go Voyages devrait être connu mi-février
