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Production

Michel Salaün : "Nous n'avons jamais connu une progression comme celle-là !"

Le groupe Salaün a annoncé qu'il allait réaliser un volume d'affaires de 230 millions d'euros en 2018 contre 218 en 2017. Une performance d'autant plus remarquable qu'elle a été réalisée sans l'activité "autocars" dont le groupe s'est séparé en octobre 2017.

 
Michel Salaün, PDG du voyagiste breton, a présenté ses résultats à Samarcande, dans le cadre d'un déplacement en Ouzbékistan avec quelques journalistes. Il a rappelé que si le deuxième groupiste français en volume d'affaires occupait actuellement la 7e place des voyagistes français derrière le Club Med, TUI, Thomas Cook, NG Travel, Voyageurs du Monde et Karavel, il visait désormais la 5e place. Pour sa part, Jean-Michel Caradec, DGA Groupe de Salaün, a effectivement confirmé les ambitions du groupe d'atteindre "rapidement les 300 millions d'euros".
Aujourd'hui le groupe fait voyager 215 000 clients dans 110 pays. La production revendue par ses 128 agences de voyages en propre et un réseau tiers de 3200 points de ventes a progressé de 6% en volume d'affaires. Quant à l'activité TO, le bilan 2018 au 15 octobre affiche un CA de 129 millions d'euros, en hausse de 15% par rapport à 2017 pour 64386  clients (en augmentation de 14%).
Côté destinations, la Russie (12,5 millions d'euros, -0,8%) est toujours en tête en chiffre d'affaires, suivie de l'Italie (10,4 millions, +30%), des Etats-Unis (9,8 millions, +8%), de la Norvège (6,7 millions, +8%) et du Portugal (6,5 millions, +8%).
Plus de la moitié du CA "transport"  du groupe est réalisé sur le long courrier (50,85 millions d'euros) en 2018 souligne encore Jean-Michel Caradec, qui précise que c'est aujourd'hui "notre modèle économique".
Michel Salaün évoque également une situation exceptionnelle de ses ventes au 15 octobre qui, à date, ont fait un bond de 56% par rapport à l'an passé et de 47% en nombre de clients. "Nous n'avons jamais connu une progression comme celle-là" souligne t-il. Mais il tempère au passage expliquant que, "l'an passé, nous étions  déjà à +30% à la même date mais avons fini l'année à +10%".

Auteur

  • Nicolas Barbéry
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