Jusqu’ici, dans EurAm, c’est surtout le côté "Am" que les professionnels du tourisme connaissaient.
En effet, l’entreprise belge s’est développée sur son marché, mais aussi en France et au Benelux en proposant un outil d’agrégation dynamique d’hébergement, de transport (hors vols) et de services additionnel situés de l’autre côté de l’Atlantique (Etats-Unis, Canada, Cuba, Costa Rica, Bahamas, Caraïbes, Mexique…).Cet outil, qui permet aux agents de packager sur mesure, avec accès aux stocks directs et cotations en temps réel sur lesquelles ils appliquent la marge de leur choix, voit aujourd’hui le champ des possibilités qu’il offre étendu au vieux continent. Autrement dit, c’est l’heure de la revanche pour le côté "Eur" de EurAm. L’entreprise n’a pas choisi n’importe quel marché pour développer son offre européenne. Elle va là où il y a de la demande, ou les produits sont nombreux, ou les fournisseurs offrent des connexions XML, ou les clients se plaisent à voyager en individuel. Des destinations sûres et stables, qui sont facilement accessibles et attrayante. Rien d’étonnant donc de la voir enrichir sa palette en commençant par l’Espagne et le Portugal avant que l’Italie ne les rejoigne. Avec sa seule activité "américaine", EurAm génère un trafic environ 80 000 nuitées par an, dont un bon tiers au départ du seul marché France, avec un panier moyen d’environ lui aussi 2000 euros. A terme, on ne serait pas étonné chez EurAm de voir l’ensemble Espagne / Portugal devenir sa 2e destination en terme de trafic, derrière les Etats-Unis. Voir d’égaler ces derniers.
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