Du 16 au 19 mai, avec le soutien de la Tarom de l'Autorité nationale pour le Tourisme (ANT), Pouchkine Tours (groupe Salaün) a organisé, pour braquer le projecteur sur la destination, un voyage de presse en Roumanie qui a attiré une vingtaine de journaliste.
Cette année, Pouchkine Tours joue la Roumanie en programmant dans une brochure de vingt pages quatre circuits et des cures thermales sur la Mer Noire : "Aujourd'hui, nous misons surtout sur les circuits", précise Michel Salaün, PDG du groupe Salaün. "Sur la Mer Noire, à Constanta, l'infrastructure hôtelière n'est plus à la hauteur". Il suffit de flâner le centre-ville de Bucarest un vendredi soir pour comprendre que le pays jouit d'une image qui n'est pas à la hauteur de ce qu'elle a offrir. Si la jeunesse de la capitale montre le dynamisme de ce pays, on découvre en Transylvanie un pays doté d'un potentiel culturel méconnu, que l'on soit à Sibiu, capitale européenne de la culture en 2007, à Shighisoara, ville natale de Dracula classée au patrimoine de l'Unesco ou encore à Sinaia, au pied des montagnes, où l'on découvre le château de Peles, ancienne résidence d'été de la famille royale. Grâce à son partenariat avec Air France, qui vole en code share avec la Tarom depuis Charles de Gaulle vers Bucarest et des prix compétitifs, le groupe Salaün espère pouvoir convaincre quelque 500 clients individuels à découvrir une destination bien éloignée des clichés qu'elle véhicule.