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Production

Témoignage : En République Dominicaine, des clients de Marsans conduits au poste "menottes au poignet"

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Nous avons reçu de nombreux témoignages de clients qui ont eu maille à partir avec les hôteliers dominicains à la suite de la défaillance de Marsans.
Nous avons en choisi d'en publier un, in extenso, qui résume le cauchemar vécu par les vacanciers. "Le jeudi 16 avril, à notre retour d'excursion vers 16 heures, nous trouvons, épinglé à la porte de notre chambre, le mot suivant : "Suite aux problèmes financiers de Marsans,nous sommes obligés de vous facturer votre séjour dans notre établissement. Veuillez passer à la récéption le plus tôt possible pour confirmer votre départ de l'hotel". A la réception, une cinquantaine de Français complètement paniqués étaient déja là. On nous a demandé de payer notre séjour, precisant sur un ton méprisant que nous avions tous de la famille en France qui pouvait envoyer un mandat cash! L'accés internet avait également été bloqué afin que nous ne puissions pas dénoncer ces évènements à l'extérieur. Confinés dans le hall de réception pendant des heures, entourés de gardes qui bloquaient et l'accés aux chambres, et la sortie de l'hotel, la nervosité et le stress se faisaient de plus en plus sentir. Ne comprenant rien à la situation, les enfants pleuraient et criaient, les mamans, en larmes, étaient complètement affolées. Parmi nous, une femme enceinte de 7 mois, et prise de contractions, s'est vue refuser l'accés à sa chambre. Un monsieur diabétique n'a pu, apres discussion, accéder à ses médicaments que sous escorte.Les personnes qui avaient pu penetrer dans leur chambre, au rez de chaussée, en forçant les baies vitrées, se sont vues reconduire de force dans le hall.Devant cette agitation, l'hotel a appellé les forces de l'ordre et certaines personnes ont été conduites au poste menottes au poignets!. Les vacanciers étrangers se sont mobilisés pour apporter oreillers et couettes afin que nous puissions dormir dehors. Nous avons vu des personnes agées essayant de dormir sur des bancs. Le lendemain, vendredi 17 avril, vers 15 heures, une personne nous a annoncé que nous avions une demi heure pour faire nos valises car un bus venait pour nous conduire à Punta Cana. Nous nous sommes tous éxécutés sans savoir ce qui nous attendait.Mais, pris " en otage " depuis plus de 24 heures, aucun de nous n'a véritablement pu trouver le sommeil : nous faisions des rondes régulièrement pour nous rassurer".
A lire aussi un article de TF1 news

Auteur

  • La Rédaction
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