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Production

Thomas Cook France : retour aux bénéfices en 2015

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Thomas Cook France a prévu de "frôler le zéro", voire d'enregistrer une "petite perte pour l'an prochain", après avoir perdu 23,4 millions d'euros en 2012 et 12,8 millions en 2011.
Mais, "on renouera avec les bénéfices l'année suivante", en 2015. C'est ce qu'a annoncé Michel Rességuier, président de Thomas Cook France, dans le cadre d'une conférence de presse qui s'est tenue lundi à Paris.Michel Rességuier est également revenu sur la période "de flottement" qui s'est déroulée entre le départ "un peu brutal" de Denis Wathier, alors président de TC France, en octobre 2011 et aujourd'hui. "Depuis, on a nettoyé les comptes en 2012" par un "exceptionnel de 15 millions d'euros de corrections comptables relatif à l'exercice précédent". Un trou que l'actionnaire a bien voulu combler avant de prendre la décision de soutenir sa filiale, mais pas sans "avoir hésité à céder ses activités en France". Les nouveaux patrons de Thomas Cook France "en concertation avec les salariés", ont déterminé cinq périmètres distincts. Le premier est le réseau de distribution, composé de 281 agences intégrées au 21 mars 2013 (parmi lesquelles 23 agences seront fermées) et de 347 franchisés, "qu'il faut respecter". Le second périmètre regroupe le tour operating "mainstream" et "circuits". Le troisième rassemble l'activité groupe, "un métier en soi". Le quatrième est constitué de l'activité "WE" et "petites escapades" mais qui sera à l'avenir sous-traitée par une entité en Suisse. Enfin, le dernier périmètre regroupe l'activité "à la carte", mais dont une partie a déjà été cédée à Philippe Tesson et Hélion de Villeneuve (lire). Le groupe parie aussi sur sa marque Jet tours qui "est très bien perçue" et qui est "un sujet d'investissement pour l'avenir". Globalement, TC aura une marque producteur national qui est Jet tours, une marque producteur régional qui est Aquatour et une marque distributeur qui est Thomas Cook. Côté production, Michel Rességuier explique encore qu'il entend resserrer à 15 le nombre des destinations afin de mieux contrôler la qualité du produit, car il veut "être extrêmement vigilant sur la promesse faite au client et le voyage qu'on lui sert". Enfin, Thomas Cook veut combler son retard sur Internet "qui prend un point de marché par an" aux agences traditionnelles. Michel Rességuier affirme être actuellement à 10% des ventes en ligne, contre 16% chez ses concurrents. Un retard qu'il faudra rapidement combler avec les sites Thomascook.fr et Jettours.fr. 
Thomas Cook

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  • La Rédaction
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