Si la première édition du MAP a été couronnée de succès pour la partie grand public, il n'en est pas de même pour la partie BtoB.Arlette Alphaize Furet, commissaire général, le reconnaît : "nous avons commis des erreurs" avant d'ajouter pour sa défense avoir monté ce salon en "cinq mois seulement.
Ce n'était pas évident". "Nous avons le mérite d'avoir osé" précise t-elle encore. Il est vrai que les deux jours consacrés aux professionnels n'ont pas eu les résultats escomptés : deux halls, des allées quasi désertes, trop peu d'agents de voyages… Les organisateurs vont prochainement effectuer des enquêtes auprès des exposants afin d'apporter les améliorations nécessaires. "Ils sont prêts à nous aider pour rectifier le tir" poursuit Arlette Alphaize Furet. Si la partie BtoB n'a pas répondu à toutes les attentes, la partie BtoC a, quant à elle, été un franc succès. "Nous avons fait carton plein le samedi et dimanche. Nous n'avions même pas suffisamment de conseillers vendeurs sur le stand" précise un responsable du stand Selectour. "En l'espace de deux heures, j'ai réalisé 6 dossiers confirmés. Du jamais vu" résume pour sa part Geneviève Dimitropoulos (Royal Tours). Sans disposer des bilans chiffrés, Arlette Alphaize Furet estime que les "visiteurs étaient plus nombreux que l'an dernier sur le SMT".
Salons
MAP : les organisateurs devront revoir leur copie
