Le SNPNC dénonce la situation rocambolesque dans laquelle s’est retrouvé un équipage d’Air France, fin octobre, à Buenos Aires. A son arrivé, l’équipage en question a en effet été arrêté suite à des accusations proférées par une passagère.
« A la suite d’accusations proférées par une passagère, nos collègues du vol AF 228 du 29 octobre 2017 à destination de Buenos aires, ont vécu 48 heures d’angoisse. En effet ils se sont vus successivement interpellés par des forces de police, interrogés dans des conditions bafouant les droits fondamentaux, inculpés et pour certains incarcérés pour finalement être relâchés sans explications » explique sur son site Internet le syndicat SNPNC qui ajoute avoir « écrit le 9 novembre dernier à l’Ambassade d’Argentine en France, aux Ministères des affaires étrangères et des transports afin de demander qu’une enquête soit ouverte ». Le syndicat explique étudier avec ses avocats les possibilités de recours juridique pour obtenir réparation du préjudice subi.