Suivez-nous grâce à nos newsletters S'inscrire

Transport

Air Partner : "ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier"

Un chiffre d'affaires de 29,8 ME.
Un quart de l'activité avec les TO.
Le broker Air Partner a publié en décembre dernier ses résultats pour l'exercice 2003-2004 (clos au 31 juillet 2004).
Il apparaît que le chiffre d'affaires du courtier aérien a légèrement baissé avec 29,8 ME dégagés (pour un résultat net de 667,6 ME) cette fois-ci contre 32,7 ME lors de l'exercice précédent. Si l'activité d'Air Partner est encore essentiellement constituée par des affrètements charter pour de l'incentive, des séminaires et des congrès (à hauteur de 48 %), la part des affrètements TO continue à augmenter. En général, il s'agit de petits TO spécialistes en Europe, mais aussi de vols ponctuels pour de plus gros opérateurs, "quand ils sont débordés et qu'ils ont des demandes de groupes", au point de représenter, comme l'explique Gilles Meynard, DG France de l'entreprise "quasiment un quart de notre business". Pour mémoire, lors de l'exercice 2002-2003, ce type d'affrètements représentait 20 % de l'activité, 14 % en 2002-2003 et 5 % en 2000-2001. Aujourd'hui, Gilles Meynard estime que "le panachage est excellent, il nous permet de ne pas avoir tous nos œufs dans le même panier". Une perception réaliste compte tenu de "la baisse des affrètements événementiels". Le reste de l'activité du broker s'est divisé cette année entre les affrètements pour l'armée et les collectivités publique (11 %), l'aviation d'affaires (8 %), les affrètements fret (6 %), les déplacements sportifs (5 %) et le sous-affrètement (2 %). Aujourd'hui, 80 % des clients d'Air Partner sont des agences. Gilles Meynard met d'ailleurs les distributeurs en garde "contre la tentation de travailler avec des courtiers dépourvus de licence d'agent de voyages, car cela pourrait se révéler désastreux du point de vue de la responsabilité en cas de problème". Si le DG se garde de citer les entreprises qu'il incrimine, il semblerait, à en croire le service "agences de voyages" de la préfecture de Paris, qu'il faille bien une licence "pour exercer le métier de courtier aérien et si on nous informe de fraude, nous diligenterons une enquête".

Auteur

  • La Rédaction
Div qui contient le message d'alerte

Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Déjà abonné ? Créez vos identifiants

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ? Remplissez les informations et un courriel vous sera envoyé.

Div qui contient le message d'alerte

Envoyer l'article par mail

Mauvais format Mauvais format

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format

Div qui contient le message d'alerte

Contacter la rédaction

Mauvais format Texte obligatoire

Nombre de caractères restant à saisir :

captcha
Recopiez ci-dessous le texte apparaissant dans l'image
Mauvais format