La plate-forme niçoise constitue un lieu de passage où la sécurité doit être garantie.
Près de 9.200 personnes disposent d’un badge pour y accéder. L’effectif affecté à la sûreté (sous-traitée) est ainsi passé de 134 personnes en 2000 à près de 540 en 2004. Ce surcoût (de plus de 26 ME) à la charge du gestionnaire est couvert par une taxe de près de 7 E par passager. A Nice, plusieurs procédés ont été testés : reconnaissance de l'iris, reconnaissance faciale permettant d’identifier les porteurs de badges et de vérifier qu'ils sont bien ceux accrédités à pénétrer dans telle ou telle section sensible. Depuis 2003, le contrôle et l’accès des personnels aux locaux informatiques de la plate-forme aéroportuaire s’effectuent via empreinte digitale. Actuellement, l'aéroport teste la biométrie, toujours par empreinte digitale, auprès de ses passagers détenteurs de la carte "client privilégié" pour leur accès aux salons par exemple.
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