L'APS veut jouer à fond son rôle de garant.
En effet, mardi dernier, Bernard Didelot a rappelé que l'association serait vigilante quant aux changements d'activité des adhérents."Ils ont l'obligation de nous déclarer les modifications qui entraînent une augmentation de leur volume d'affaires." À l'APS, on aime cette formule : "Quand vous mettez un moteur de Ferrari dans votre 2 CV, vous avez l'obligation de faire une déclaration à votre assureur". En effet, si une agence de voyages devait affréter (hôtel, avion ou train), le risque n'est plus le même. "C'est une chose d'affréter un avion pour l'Amicale des boulistes, c'en est une autre de lancer une chaîne charter". Déjà, en mars dernier, Bernard Didelot avait mis en garde les adhérents. "Monter une chaîne charter, c'est un métier à part entière. S'ils ne nous préviennent pas, nous n'avons pas obligation de rembourser les clients victimes de leur faillite. Nous le faisons pour protéger l'image de la profession."
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