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Transport

L'arrêt des opérations de Volare excite déjà toutes les convoitises

Ryanair et Easyjet veulent profiter de l'espace laissé vacant par Volare.
D'après Easyjet, "l'Italie est le deuxième marché pour les vols à bas coûts".
Ryanair envisagerait d'opérer des routes sur le marché intérieur italien.
Ryanair et Easyjet veulent profiter de la probable disparition de Volare (la licence de vol de la compagnie italienne a été suspendue pour un mois par l'autorité nationale de l'aviation civile italienne) pour se développer en Italie.
Les compagnies ont dévoilé mercredi l'une et l'autre leurs projets de nouvelles lignes à destination et au départ d'aéroports italiens desservis jusqu'à récemment par Volare, qui s'est déclarée mardi en état d'insolvabilité. La compagnie irlandaise Ryanair a annoncé qu'elle allait opérer deux vols par jour pour relier Paris (depuis l'aéroport de Beauvais) à Venise (aéroport de Trévise), sans toutefois préciser la date du début de ces vols. De son côté, Easyjet va desservir à partir du 27 mai 2005 Olbia (Sardaigne) au départ de Londres Gatwick et à partir du 27 avril 2005 Cagliari (Sardaigne) au départ de Londres Luton. Deux autres lignes seront ouvertes à partir du 8 avril 2005 au départ de Berlin, l'une desservant Olbia et l'autre Pise, a ajouté Easyjet. Les deux low cost ont agi promptement pour profiter de la disparition annoncée de Volare sur un marché italien en pleine expansion. Selon le directeur général d'Easyjet, Ray Webster, "l'Italie est le deuxième marché européen pour les vols à bas prix et bien que certaines compagnies y connaissent des difficultés, le marché italien est en pleine forme et représente un bon potentiel de développement". De son côté, Ryanair se veut encore plus agressive : la compagnie dirigée par Michael O'Leary projette en effet de créer des liaisons intérieures sur le marché italien. Selon une source proche du dossier, Ryanair discuterait avec 18 aéroports italiens. La compagnie a offert aux passagers de Volare qui avaient réservé des vols sur la compagnie italienne aujourd'hui clouée au sol, de les transporter gratuitement, à condition toutefois qu'ils payent les taxes d'aéroport.

Auteur

  • La Rédaction
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