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Transport

L'Ectaa imagine un autre système pour remplacer l'actuel BSP

Résultat d'une étude de faisabilité.
Prochaine étape en mars 2005.

L'Ectaa a tenu sa dernière réunion semestrielle début décembre à Malte. Au menu des réjouissances, on trouvait, entre autres, le résultat de l'étude lancée il y a 4 mois par l'Ectaa et le Gebta dans le but d'évaluer la possibilité de créer un nouveau système de règlement plus efficace et plus accessible que celui qui est en place aujourd'hui. Bref, un système qui pourrait remplacer l'actuel BSP. Selon le groupement, ses membres "ont accueilli favorablement les résultats de cette étude". Toujours d'après l'Ectaa, "les recherches ont démontré qu'il y a un intérêt clair pour une nouvelle approche de l'accréditation, de la facturation et des règlements". Les reproches faits au système actuel ? Le BSP ne fonctionne que pays par pays, donc n'arrange pas les agences qui ont des activités plurinationales. Il n'intègre pas les compagnies low cost. Enfin, il ne permet pas la sécurisation des commissions d'autres secteurs. D'après l'Ectaa, "même les compagnies sont intéressées, pour peu que le nouveau système soit plus efficace et leur permette de faire des économies". La prochaine étape, qui doit aboutir en mars prochain, consistera en interne à étudier la structure juridique du système et à dresser un plan financier détaillé.
Les ADM, "un problème explosif en Europe"
Au cœur des débats de la dernière réunion semestrielle de l'Ectaa, on trouve… les ADM. "C'est devenu un problème explosif en Europe", explique Michel de Blust, secrétaire général de l'Ectaa. Il ajoute : "À l'origine, c'est un instrument permettant de rectifier une erreur commise sur un billet au niveau tarifaire." Le problème, "c'est d'abord que les compagnies sous-traitent la vérification des billets à des sociétés rémunérées en fonction du nombre de billets qu'elles rectifient" et d'autre part qu'"aujourd'hui les ADM servent à tout et non plus seulement aux rectifications tarifaires". D'après Michel de Blust, certaines agences se retrouvent avec "300 ADM à vérifier en fin de mois". Pour l'Ectaa, les agences doivent vérifier les ADM qu'on leur adresse et, si elles les contestent, informer et le BSP et la compagnie concernée. Si la date de paiement arrive avant que le litige ne soit réglé, l'Ectaa recommande aux agences de verser l'argent sur un compte tiers en attendant que le problème soit résolu.

Auteur

  • La Rédaction
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