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Transport

La Compagnie : les ventes du Londres New York démarrent fort

En avril prochain, La Compagnie va lancer un vol Londres New York en monoclasse affaires opéré en B75-200.
Après l'ouverture de sa ligne quasi-hebdomadaire (6 vols par semaine) Paris-New York l'été dernier, la compagnie aérienne lancée il y a tout juste 6 mois par Frantz Yvelin, continue son développement sur le transatlantique.
 A Londres, La Compagnie a choisi de décoller de Luton, "un aéroport à taille humaine" comme l'explique Frantz Yvelin, idéal pour une compagnie "boutique". Plusieurs avantages à ce choix : Pas, ou peu, de concurrence au départ de cette plateforme, même temps de trajet du centre de la capitale britannique que Gatwick (Luton se trouve en ligne directe à 23 minutes en train de la gare de St Pancras), un nouveau salon business inauguré fin février soit un mois avant le lancement de la nouvelle ligne, et, enfin, un aéroport qui est le premier pour les jets d'affaires en Grande Bretagne. De l'autre côté de l'Atlantique, pas de changement, c'est à Newark que l'appareil se posera, à l'instar du vol Paris-New York. Pour le patron de La Compagnie, le "démarrage du Londres New York est 3 à 4 fois plus fort en terme de réservation" que le l'ouverture du Paris New York en juillet dernier. Avec un prix de lancement de 1.007 livres (1.360 euros environ) AR pour deux personnes, le succès a été au rendez-vous, à tel point que la promotion devrait être renouvelée. Autre bon point : "la presse britannique a très bien accueillie le nouvel arrivant". Il est vrai que la compagnie bénéficie déjà d'une certaine notoriété à la fois en Europe mais aussi aux Etats-Unis avec 10.000 passagers transportés (à 50/50) depuis le début de l'aventure. Côté distribution, La Compagnie est revendue en direct ainsi que via les GDS (Travelport) réalisant par ce biais 25 à 30% des ventes. Par ailleurs, Frantz Yvelin croit à fond à son modèle, "une compagnie de niche avec un produit unique". Avec une classe affaires hors de prix, "les autres compagnies sont arrivées au bout la logique de leur modèle économique", dit-il encore. "Quand on vend à 4.000 euros, Air France vend à 6.000 !", ajoute t-il, alors que lui s'estime "très content" si son tarif moyen "est entre 1.500 et 2.000 euros". Quant à l'avenir, Frantz Yvelin annonce déjà l'acquisition d'un 3e avion, d'ici un an. Débordant d'enthousiasme, il ne cache pas ses ambitions : "Ouvrir d'autres routes en en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, au départ d'autres villes en Europe, et peut être aussi vers l'Asie..."
 
New York

Auteur

  • Nicolas Barbéry
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