Les atterrissages écolos de SAS s'étendent aux vols long-courriers

Ses pilotes adaptent désormais cette procédure aux vols long-courriers, notamment transatlantiques.Que les passagers se rassurent, il ne s'agit pas de couper les moteurs et de descendre en piqué. L'éco atterrissage mis en place par SAS est plus subtil que ça. Il s'agit de faire tourner les moteurs au ralenti depuis l'altitude de croisière, jusqu’à la dernière étape de l’approche. Sans entrer dans plus de détails techniques, la compagnie scandinave affirme que ce type d'atterrissage sur un vol transatlantique "effectué avec un Airbus A330 économise environ 150 kg de consommation de kérosène et 470 kg de CO2".