Switch renonce à voler avec Phénix sur le Mexique et le Costa Rica

Comme nous l'a expliqué Jean-Pascal Siméon, le PDG du TO, "une chose est certaine, nous ne pouvons plus attendre une hypothétique autorisation avant de lancer notre plan de vol". A l'origine, Switch devait utiliser l'Airbus A330 que Phénix doit sous-affréter auprès de la compagnie espagnole Iberworld à raison de trois rotations hebdomadaires, dont une n'était pas encore confirmée au moment où le TO a décidé de changer son fusil d'épaule. Cette rotation ne dépassera donc pas le stade de l'hypothèse. Quant aux deux autres, à savoir un vol vers le Mexique et un vol vers le Costa Rica, il "existe des solutions avec Corsair et Star pour le premier et en vol régulier pour le second". En ce qui concerne la critique du syndicat de pilotes SNPL à l'encontre de Phénix (Cf. QDT n° 2754 du 29 août), chez Switch, on "ne pense pas souhaitable une attitude de protectionnisme intensif", mais on ne tient pas à ajouter à la polémique entre les navigants et la direction de la future compagnie.