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Transport

Tam ajoute quatre vols au départ de Paris CDG

En septembre au plus tard Tam opérera 14 vols par semaine.
Une de ces fréquences supplémentaires desservira Recife.
En juin, Tam ne devrait plus être affichée dans Amadeus.

Tam est sur le point d'ajouter quatre fréquences au départ de Paris. Ce qui portera à 14 le nombre de vols opérés chaque semaine par la compagnie brésilienne entre Roissy CDG et Sao Paulo, soit une offre biquotidienne. Du moins à terme, car Tam récupère en fait des fréquences abandonnées par un autre transporteur (en l'occurrence Varig) et la loi brésilienne l'oblige à respecter un délai de carence de 180 jours après la date d'abandon. Or les fréquences concernées n'ont pas été abandonnées en même temps. Tam a donc le choix entre échelonner les mises en ligne au fur et à mesure en respectant les différents délais de carence ou réussir à obtenir une dérogation de la part des autorités brésiliennes. Chez Tam, on explique que de toute façon les quatre fréquences supplémentaires seront toutes opérées au plus tard fin septembre. Au départ de Paris, les deux vols par jour que le transporteur brésilien proposera à ce moment-là partiront aux alentours de 22 heures, pour atteindre Sao Paulo vers 6 heures du matin. Au retour, en revanche, un des deux vols partira vers 18h30 pour arriver à CDG à 11 heures. Le départ du second se faisant à 22h30 (arrivée à Paris à 14h30). Autre nouveauté et de taille, Tam veut se servir de l'une des quatre fréquences supplémentaires pour desservir, en vol direct au départ de Paris, la ville de Recife. L'avion devrait effectuer le trajet suivant : Roissy CDG-Recife-Sao Paulo. Côté distribution, la situation avec Amadeus (Cf. QDT n° 2503 du 24/02/05) semble toujours aussi figée. Si rien ne se passe, la compagnie ne sera plus affichée dans le GDS à compter du 2 juin prochain. Sans mésestimer l'impact que cela aura sur ses ventes, Marcos Victory, directeur général pour l'Europe de Tam, tempère. "Nous risquons de payer l'aspect pionnier de notre démarche", reconnaît-il mais il espère "limiter la casse grâce aux politiques de préconisation mises en place par les réseaux et à l'existence des bases de données tarifaires privatives".
Paris

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  • La Rédaction
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