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Transport

Toujours pas d'avions pour Air Horizons

Mardi, Go a dû se résoudre à continuer à protéger ses vols.
Le week-end dernier, le TO a jonglé avec les avions.
Go cherche actuellement de nouveaux contrats d'affrètement.

Ça sent le roussi pour Air Horizons. Mardi, la compagnie actuellement en redressement judiciaire indiquait à Go Voyages que le TO avait tout intérêt à continuer à protéger ses départs pour les jours à venir, et notamment pour le week-end prochain. D'ailleurs, du côté de Go, on nous indiquait, également mardi, que tout était "verrouillé", au moins jusqu'à dimanche. Reste que si Air Horizons n'arrive pas à s'entendre avec les loueurs d'avions et les autres créanciers pour remettre en ligne au moins un appareil, ce n'est pas franchement bon signe : à quoi sert de maintenir en redressement judiciaire une entreprise qui n'est pas en état de produire ? Réponse au plus tard le 30 novembre, lorsque la compagnie fera le point sur sa situation avec le tribunal de commerce de Bobigny. En attendant, les clients d'Air Horizons s'organisent. L'exemple de Go. Le week-end dernier, la grenouille a dû jongler avec les appareils de multiples compagnies : Axis, qui a utilisé un B 757 en provenance de Grande-Bretagne (que Go a d'ailleurs gardé à Paris cette semaine pour faire voyager l'équipe de l'Olympique de Lyon, en déplacement à Madrid), Europe Airpost l’un de ses B 737 QC, Aigle Azur et ses A 321, Blue Line qui a jonglé avec un Fokker 100 et un MD 83… Sans oublier un B 737-800 tchèque de la compagnie Travel Service qui a volé sous pavillon Air Méditerranée… Chez Go, on explique non sans une certaine fierté que "non seulement aucun passager n'est resté par terre, mais en plus, les horaires ont été tenus". Et comme le week-end prochain semble moins chargé que le dernier, il n'y a à priori aucune raison pour que les choses se passent mal. Pour la période de pointe – vacances de Noël et mois de janvier –, on explique chez Go "avancer sur du concret". Et d'ajouter : "Si on fait entrer un avion, on fera en sorte de le garder tout l'hiver, ne serait-ce que pour réduire les coûts de mise en place." Quant au coût de l'opération, "il ne pourra être réellement établi que lorsque nous aurons – le cas échéant – un nouveau contrat avec une autre compagnie".
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  • La Rédaction
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