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Production

Beachcomber Tours démocratise son offre océan Indien

Le tour-opérateur introduit des adresses de charme, guest-house et maisons d'hôtes à Maurice et aux Seychelles, ainsi qu'en Polynésie.
Beachcomber Tours augmente sa production de 65% avec des excursions, combinés, croisières… Le TO ouvre aussi cet hiver la Tanzanie et la Nouvelle-Zélande.Beachcomber Tours a une obligation de croissance. Déjà pour réduire ses pertes le TO a été mis au régime sec par son nouveau directeur général (et commercial), Guy Zekri. Les effectifs ont fondu d'un quart, les contrats fournisseurs ont été revus voire dénoncés. Et le TO vient d'emménager dans de nouveaux locaux, mitoyens avec ceux de Beachcomber Hotels et moitié moins chers, à la Bastille.
 

Absorber les pertes


Sur l'année écoulée (exercice 2016-17, clos fin septembre), le tour-opérateur filiale du groupe mauricien Beachcomber Hotels aura enregistré un chiffre d'affaires "en croissance de 3,5% à 44 M€". Mais son résultat reste en négatif d'"environ 200.000€ contre -1,2 M€ l'an dernier", pénalisé entre autres par "la faillite de Boiloris".
 
Pour atteindre l'équilibre et la rentabilité, le DG compte sur plusieurs éléments: la réouverture du Canonnier –"mon best-seller à Maurice"–, une offre produits étoffée (+65%), l'ouverture de la Tanzanie, un tour du monde avec Air New Zealand, etc. dans une brochure "plus aérée, plus technique, mettant plus en avant nos services".

Spécialiste et exhaustif sur une destination


L'idée principale? Augmenter l'offre en élargissant la gamme d'hébergements. Et ce dans toutes les destinations proposées. "Quand on se dit spécialiste d'une destination, il faut pouvoir proposer une large gamme" déclare Guy Zekri.
 
Ainsi à l'île Maurice (11.000 pax), où les hôtels du groupe constituent l'essentiel de l'offre (six pages de brochure par établissement maison), le TO a ajouté des maisons d'hôtes. Comme la Demeure Saint-Antoine "pour passer une ou deux nuits dans un autre cadre, une maison familiale historique" explique Bruce McNamara, directeur de la production. "Un produit de qualité n'est pas forcément cher" ajoute le DG.

Maisons d'hôtes et hôtellerie de charme


Des maisons d'hôtes et des guest-houses ont donc fait leur apparition chez Beachcomber Tours, à la Réunion (1.000 pax) où l'offre a été entièrement revue avec plus d'excursions. Même chose aux Seychelles (1.500 pax) et en Polynésie (1.000 pax) où la petite "hôtellerie familiale de charme est remarquable". Le TO a donc introduit une nouvelle classification en "maisons" avec pictogrammes associés.
 
"C'est un outil pour aider les agences à identifier rapidement ces produits dans la brochure, explique Bruce McNamara. De manière générale, nous avons ajouté beaucoup d'informations pratiques (superficie, vue, etc.) afin de savoir tout de suite ce qui justifie tel ou tel tarif." "Si l'agent de voyages connaît son produit et son client, il ne peut pas y avoir  pas d'erreur de vente" affirme le DG .
 
Pour attirer plus de clients mais préserver le panier moyen, le TO a ajouté des excursions en nombre (22au lieu de 4) à la Réunion par exemple, mais aussi des croisières à la cabine ou en affrètement...  aux Seychelles.

Deux nouvelles destinations


Le tour-opérateur lance la Tanzanie, en complément de Zanzibar (300 pax) qu'il programme depuis deux ans. Beachcomber y propose du safari-photo en 5, 7 ou 10 nuits avec différentes combinaisons de parcs (Selous, Serengeti, Ngorongoro.) et hébergement du "standard" au "Sanctuary plus".
 
Autre destination sur laquelle Beachcomber se lance, la Nouvelle-Zélande. A l'occasion  d'un partenariat avec Air New Zealand pour un stop-over sur la Polynésie puis un tour du monde (à partir de 4.650€, 20 J/16N), la question s'est posée sur du séjour en autotour.
 
Le TO en propose donc 3 dans l'île du Nord (de 4 à 6 nuits) et deux qui combinent Nord et Sud (en 6 à 8 nuits). Idéalement, Beachcomber Tours aimerait capter en Nouvelle-Zélande 10% du millier de pax qu'il réalise en Polynésie... Sur le même principe, le TO a aussi une programmation sur l'Ouest américain dans le cadre du stop-over à Los Angeles.
 
 
Côté Méditerranée, le nouveau venu, le Beachcomber Côte d'Azur figure dans la brochure du TO. En revanche, le Royal Palm de Marrakech, propriété du groupe mais désormais pris en gestion par Accorhotels sous la marque de luxe Fairmont, fait l'objet d'un tiré à part.

Auteur

  • Myriam Abergel
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