Deux études viennent d'être publiées, coup sur coup, sur les dégâts que peuvent provoquer les réseaux sociaux sur les individus.
La première sur Facebook, la seconde sur Twitter.Ainsi, des chercheurs allemands ont découvert qu'une personne sur trois se sentait plus malheureuse et davantage frustrée après avoir surfé sur Facebook. Cette déprime viendrait du fait que l'internaute sur Facebook a du mal à supporter le bonheur des autres, qu'il sublime à travers leurs photos de vacances, la quantité de vœux d'anniversaire, ou le nombre de "like". Les chercheurs américains de l’université de Caroline du Sud, eux, se sont penchés sur Twitter. Ils viennent de faire un lien entre ce réseau social et la perte de poids. Selon eux, en moyenne, les personnes les plus actives sur Twitter perdaient 0,5 % de leur masse tous les dix tweets. Je me demande si ces études sont bien sérieuses. La preuve, au bureau j'ai des collègues qui passent leurs journées sur Facebook et Twitter. Eh bien vous ne le croirez pas, mais ils ont l'air aussi heureux que replets ! Alors ?
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