Nationaltours, spécialiste des circuits accompagnés, vient de boucler un exercice 2016/2017 (clos au 30 septembre) particulièrement dynamique.
Chiffre d'affaires en hausse
Nationaltours, filiale du groupe Salaün a vu son chiffre d’affaires atteindre 40 M€, soit une progression de 9,5 % par rapport à l’exercice précédent. Le tout pour un résultat d’exploitation équivalent à 1,5% du chiffre d’affaires. Et ce, pour la seule activité GIR. De son côté l’activité groupes enregistre une hausse de 5 % avec un chiffre d’affaires de 20 M€ et un nombre de clients qui passe de 32 500 à 35 000.Quant aux tendances pour 2018, elles sont également excellentes avec jusqu’ici (du 31 octobre au 31 mars) des progressions de 15,5% pour le CA et de 13,35% en nombre de clients pour l’activité TO et un chiffre d’affaires en hausse de 12% pour les groupes constitués.
Coller aux attentes des clients
L’entreprise, dont l’une des spécialités est d’aller chercher ses clients à domicile, est donc sur de bons rails. Pour autant pas question pour elle de se reposer sur ses lauriers. Comme nous l’explique son directeur général, Thierry Houalard, « nous essayons de coller au mieux aux nouvelles attentes de notre clientèle ». De fait, même si le cœur de clientèle de Nationaltours reste les « séniors », la tendance chez le TO est aux réductions des tailles de groupes, à l’autonomie et au rajeunissement. D’où plus de variété dans une production qui compte aujourd’hui plus de 200 circuits sur 80 pays. De 40 à 50 clients par groupe il y a 10 ans, la moyenne tourne aujourd’hui à 30 ou 35 personnes, voir, 22 à 25 en Asie. A cela il faut ajouter une série de produits baptisés « Sélection + », qui, pour des tarifs évidement différents, permettent de réduire les groupes à 10 à 15 personnes.Si jusqu’à présent l’idée était de voir le maximum de choses en un minimum de temps, les durées de voyages, pour un même contenu, ont aujourd’hui tendances à devenir plus variées, avec du 10, du 11, du 12, du 17, voire du 18 jours (sur des destinations ou l’offre aérienne le permet et ou le cout du terrestre n’est pas prohibitif).