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Le Sultanat d'Oman

Les régions de Moussandam et du Dhofar méritent-elles une extension ?

Oui. Elles possèdent des spécificités que l’on ne retrouve pas ailleurs en Oman. Ouverte sur le détroit d’Ormuz, la péninsule du Moussandam offre des paysages de fjords magnifiques qui plairont beaucoup aux amateurs d’espaces naturels préservés tandis qu’à l’extrême sud du pays, le Dhofar qui reçoit les pluies de la mousson estivale offre un visage presque tropical avec ses plages bordées de palmiers. Voici une brève présentation de ces deux destinations généralement proposées en extension d’un circuit ou d’un séjour par les voyagistes : 
Moussandam : C’est l’une des plus belles régions d’Oman avec les falaises de ses hautes montagnes qui tombent à pic dans la mer transparente. Du fait du peu de routes facilement carrossables, le Moussandam se dévoile principalement dans le cadre d’excursions guidées, le temps fort du voyage étant la sortie en boutre dans l’estuaire d’Ash Shams. Les villages sont accessibles uniquement par la mer et la promenade est ponctuée d’un arrêt-plongée avec masque et tuba pour observer les fonds marins de toute beauté. Il n’est pas rare aussi de croiser des dauphins. Côté terre, les montagnes du Moussandam, qui culminent à environ 2000 mètres d’altitude, se parcourent en 4x4. Accès : une heure de vol à partir de Mascate avec Oman Air, ou six heures de route en traversant les Emirats arabes unis. Le Musandam est également très facile d’accès depuis Dubaï (deux heures de route).
Dhofar. Cette vaste province qui occupe près d’un tiers du territoire omanais est principalement recouverte par le désert et les montagnes. Mais les paysages agricoles de ses wadi (oueds) ont la particularité d’être verdoyants durant les pluies estivales. Quant à la plaine côtière qui s’étale de part et d’autre de Salalah, la capitale, elle offre un aspect tropical avec ses plages de sable fin bordées de cocotiers. Le Dhofar est en effet la seule région de la péninsule arabique à être soumise au régime de la mousson (de juillet à septembre). Pour le reste, cette partie du pays se prête bien à la découverte en individuel et propose sensiblement les mêmes ingrédients culturels et naturels que l’arrière-pays de Mascate (forts, wadi, villages de pêcheurs, vestiges archéologiques). On y retrouve aussi, çà et là, des références à l’architecture du Yémen frontalier avec des maisons aux portes et aux fenêtres ouvragées, l’autre particularité de la région étant ses plantations d’arbres à encens (le boswellia sacra). Accès: une heure et demie de vol depuis Mascate avec Oman Air ou douze heures de route (1000 km) à partir de Mascate, qui se font généralement en 2 jours avec une nuit à mi-chemin.

Auteur

  • La Rédaction
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