Il s'appelle Toshifumi Fujimoto, c'est un chauffeur de poids-lourds japonais et il tue son ennui en risquant sa vie pour visiter les lignes de front du conflit en Syrie.
Selon le récit raconté par l'AFP, il parle à peine anglais, encore moins arabe, et ne peut se faire comprendre que grâce au logiciel de traduction Google translate. A Alep, il se déplace sans casque ni gilet pare-balles, "trop lourds pour courir". Il met ses photos en ligne "pour que mes amis les voient. Il a raconté à ses patrons qu'il était parti en Turquie de peur qu'ils "le prennent pour un fou". Alors que, évidemment, il est tout à fait sain d'esprit. Suggérons lui un nouveau défi : un safari, à pieds, sans guide, en Afrique du Sud, dans le parc Kruger.
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Un Japonais fait du tourisme sur les lignes de front en Syrie
